L'essentiel
CCN1
REPRISE - CCN inconnu - reprise historique
Nomenclature
du niveau de qualification
Niveau 5
Code(s) NSF
201n : Conception en automatismes et robotique industriels, en informatique industrielle
Date d’échéance
de l’enregistrement
31-12-2005
Nom légal | Siret | Nom commercial | Site internet |
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HAUTES ETUDES INDUSTRIELLES (HEI) | - | - | - |
Activités visées :
Le(la) technicien(ne) en informatique industrielle participe à l'étude, à la réalisation ou à la maintenance de la partie informatique des systèmes industriels.
De l'analyse à l'intégration, son activité comprend trois fonctions principales :
1) Analyser et concevoir les logiciels chargés du pilotage et du contrôle des machines
A partir du schéma d'ensemble défini en collaboration avec le client, il conçoit et écrit un cahier des charges permettant grâce à une analyse structurée d'obtenir un ensemble logiciel. Ce programme traduit la suite des opérations à effectuer par la machine en une série d'instructions compréhensibles par l'ordinateur (codage).
Il prévoit aussi des procédures de contrôle de fonctionnement et des procédures de diagnostic d'erreur et de pannes.
Une fois le programme terminé, il effectue des tests de simulation et vérifie la conformité des résultats.
Il rédige les dossiers techniques concernant l'utilisation et la maintenance du programme.
Il peut assurer la maintenance des logiciels existants : recherche d'erreurs, modifications destinées à améliorer les performances du système.
2) Réaliser, installer et améliorer le matériel
Dans cet aspect de son travail, l'informaticien industriel assemble des sous-ensembles électroniques afin de constituer l'équipement de contrôle-commande d'un système.
Au préalable, il a défini les différentes fonctions informatiques à réaliser, et il a choisi le matériel susceptible de remplir ces fonctions.
Dans cette perspective, ce technicien est donc un ensemblier qui utilise le matériel disponible sur le marché pour construire la commande adaptée à une installation et en assurer la maintenance.
3) Intégrer et interconnecter des systèmes
Dans les petites et moyennes entreprises, il a surtout en charge le traitement des données dans le cadre de l'informatisation d'un processus.
Dans les grandes entreprises très structurées et disposant d'un service d'informatique industrielle, il est très souvent un homme d'interface qui relie et rend compatibles les différents éléments d'un réseau (matériels de conception, de fabrication, de gestion de production) afin d'obtenir un bon fonctionnement de l'ensemble.
Compétences attestées :
Compétences attestées : - connaissance des systèmes de production dans leur ensemble.
(robotique, automatisme, électronique, gestion de production assistée par ordinateur...),
- maîtrise de différentes technologies et langages.
- connaissance des techniques de veille sur les évolutions technologiques ainsi que sur les modes d'organisation des entreprises.
Secteurs d’activités :
Ce technicien travaille principalement dans les entreprises industrielles, en collaboration avec des ingénieurs ou des chefs de projet, en atelier de développement logiciel et matériel, en laboratoire d'essais, tests et mesures, en plate-forme d'intégration ou en bureau d'études. Hors entreprise, il participe aux chantiers d'installation et de mise en service ainsi qu'à la maintenance sur site.
Il peut aussi être employé dans des sociétés de services et d'ingénierie informatique (SSII) lorsqu'elles ont des départements spécialisés. Dans ce cas, il sera amené à effectuer des missions plus ou moins longues dans les entreprises clientes, ce qui nécessite disponibilité et adaptabilité.
Type d'emplois accessibles :
- Informaticien(ne) d'étude - Technicien(ne) en systèmes automatisés
Code(s) ROME :
- M1805 - Études et développement informatique
Références juridiques des règlementations d’activité :
Le cas échant, prérequis à l’entrée en formation :
A compléter (Reprise)
Le cas échant, prérequis à la validation de la certification :
Pré-requis disctincts pour les blocs de compétences :
Non
Validité des composantes acquises :
Voie d’accès à la certification | Oui | Non | Composition des jurys | Date de dernière modification |
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Après un parcours de formation sous statut d’élève ou d’étudiant | X | 50 % de formateurs, 50 % de professionnels | - | |
En contrat d’apprentissage | X | - | - | |
Après un parcours de formation continue | X | 50 % de formateurs, 50 % de professionnels | - | |
En contrat de professionnalisation | X | - | - | |
Par candidature individuelle | X | - | - | |
Par expérience | X | 50 % de formateurs, 50 % de professionnels | - |
Oui | Non | |
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Inscrite au cadre de la Nouvelle Calédonie | X | |
Inscrite au cadre de la Polynésie française | X |
Aucune correspondance
Référence des arrêtés et décisions publiés au Journal Officiel ou au Bulletin Officiel (enregistrement au RNCP, création diplôme, accréditation…) :
Date du JO/BO | Référence au JO/BO |
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- | Arrêté du 22 juillet 1999 publié au Journal Officiel du 30 juillet 1999 portant homologation de titres et diplômes de l’enseignement technologique. |
Référence autres (passerelles...) :
Date du JO/BO | Référence au JO/BO |
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- |
Arrêté du 5 novembre 1990 publié au Journal Officiel du 23 novembre 1990 portant homologation de titres et diplômes de l’enseignement technologique. Homologation sous l'intitulé 'Certificat de spécialisation en informatique Industrielle'. Arrêté du 28 novembre 1995 publié au Journal Officiel du 14 décembre 1995 portant homologation de titres et diplômes de l’enseignement technologique (renouvellement). Arrêté du 22 juillet 1999 publié au Journal Officiel du 30 juillet 1999 portant homologation de titres et diplômes de l’enseignement technologique. Homologation sous l'intitulé 'Technicien supérieur en informatique industrielle'. Arrêté du 3 octobre 2002 publié au Journal Officiel du 12 octobre 2002 portant homologation de titres et diplômes de l’enseignement technologique. L'homologation prend effet à compter du 1er janvier 1986 et jusqu'au 31 décembre 2003. Décret n° 2004-171 du 19 février 2004 modifiant le décret n° 2002-616 du 26 avril 2002 relatif au répertoire national des certifications professionnelles (publié au Journal Officiel du 22 février 2004). La validité du titre est prorogée jusqu’au 31 décembre 2005. |
Date du dernier Journal Officiel ou Bulletin Officiel :
12-10-2002
Date d'échéance de l'enregistrement | 31-12-2005 |
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Statistiques :
Lien internet vers le descriptif de la certification :
Le certificateur n'habilite aucun organisme préparant à la certification