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Répertoire national des certifications professionnelles

Titre ingénieur - Ingénieur-e du Centre international d'Etudes Supérieures en Sciences Agronomiques de Montpellier (Montpellier SupAgro)Spécialité: Agronomie à vocation générale

Inactive

N° de fiche
RNCP19338
Nomenclature du niveau de qualification : Niveau 7
Code(s) NSF :
  • 310 : Spécialités plurivalentes des échanges et de la gestion
  • 220 : Spécialités pluritechnologiques des transformations
Nom légal SIRET Nom commercial Site internet
Ministère chargé de l'agriculture - - http://www.agriculture.gouv.fr
Activités visées :

* Activités visées :
Le métier de base de l’ingénieur consiste à poser et résoudre des problèmes souvent complexes liés à la conception, à la réalisation et à la mise en œuvre de produits, de systèmes et de services. A ce titre, l’ingénieur doit posséder un ensemble de connaissances techniques, économiques, sociales et humaines reposant sur une solide culture scientifique.

L’ingénieur-e agronome du Centre international d'études supérieures en sciences agronomiques de Montpellier (Montpellier SupAgro) exerce son activité dans les domaines de :
- Agroalimentaire et agro-industrie
- Agro-managers

- Amélioration des plantes et ingénierie des productions méditerranéennes
- Agro TIC - Technologies de l’information et de la communication appliquées à l’agronomie
- Chimie et bioprocédés pour un développement durable

- Elevages en milieux difficiles
- Gestion de l’eau, des milieux cultivés et de l’environnement
- Productions végétales durables
- Protection des plantes et environnement
- Territoires et ressources : politiques publiques et acteurs
- Viticulture, Œnologie et Économie-Gestion-Marketing viti-vinicoles

C’est un-e professionnel-le orienté-e vers les activités de conception, de direction et de management, les applications et les réalisations techniques, la recherche, la recherche-développement, le conseil, la formation …

C’est un-e professionnel-le orienté-e vers les activités de conception, de direction et de management, les applications et les réalisations techniques, la recherche, la recherche-développement, le conseil, la formation …

L’Ingénieur-e de Montpellier SupAgro acquiert une approche pluridisciplinaire dans les secteurs de la production, de la transformation du vivant et des sciences socio-économiques ainsi que des connaissances sur les acteurs et les organisations de la filière agricole.

La formation de Montpellier SupAgro s’attache à développer son « sens de l’humain », son ouverture aux sciences humaines et à la réflexion citoyenne, ses capacités à la controverse socio-technique et scientifique.

La maîtrise des outils de communication, comme les langues et l’informatique, lui permet de s’adapter aux exigences du monde socio-professionnel. (le niveau B2 du TOEIC est exigé en anglais)
L’ingénieur-e agronome doit être capable de synthétiser l’expérience acquise par la rédaction d’un mémoire écrit, lui permettant une formalisation et un recul critique sur cette pratique, qui la rend ainsi transférable dans d’autres situations professionnelles. L’écrit permet de vérifier la progression et l’intégration des connaissances acquises.

De par ses connaissances en agronomie, biologie et écologie, bio-technologie, sciences de la production animale et végétale, amélioration des plantes et protection des cultures, transformation des produits, gestion des entreprises agro-industrielles et en agro-économie, gestion de projets, statistiques, informatique, langues, l’ingénieur-e agronome développe des capacités d’intégration pluridisciplinaires.
Il-elle est apte à résoudre des problèmes complexes de conception et de développement dans les domaines d’application afférents à ces champs disciplinaires et à occuper des fonctions à l’interface des spécialistes de ces différents domaines.
Il-elle est capable de gérer un projet, d’animer, de diriger des équipes et des systèmes dans un contexte local, régional ou international, en lien avec les domaines concernés et d’avoir une fonction de conseil.

Compétences attestées :

* Capacités attestées :
Au sein de l’option choisie au cours de son enseignement, il-elle a acquis des compétences plus spécialisées qui lui permettent d’intervenir dans les domaines suivants :

- Agroalimentaire et agro-industrie
Sur la base d’acquisition de connaissances approfondies dans les domaines des sciences des aliments, de la nutrition et de la santé, de l’hygiène et de la sécurité (des aliments et du travail), du génie des procédés, de la gestion de production, du marketing…., les ingénieurs-es agronomes sont capables de prendre en charge différentes fonctions au sein des entreprises de production ou de service (secteur public, coopératif ou privé), d’intervenir dans le « pilotage par l’aval » de l’ensemble des éléments techniques déterminants pour l’élaboration de produits de qualité, de contribuer au développement de nouveaux produits tout en prenant en compte l’impact environnemental…

Dans ces domaines, l’ingénieur-e agronome développe plus particulièrement des capacités spécialisées lui permettant :

- la gestion de la production et des flux (approvisionnements, commercialisation, logistique…) ;
- le traitement des problèmes de qualité / sécurité des denrées et aliments ou d’environnement (gestion des effluents et déchets, optimisation de l’impact environnemental) ;
- l’approche de l’ensemble des référentiels (ISO…) et guides des bonnes pratiques (fabrication, hygiène-HACCP…) ;
- la conception de nouveaux produits ;
- la mise en place d’une démarche expérimentale ou de recherche appliquée ;
- la préparation et la mise en œuvre d’une stratégie de marketing dans le domaine agroalimentaire ;
- la réalisation de diagnostics et d’audits…

- Agro-managers
Sur la base d’acquisition de connaissances approfondies dans les disciplines clés de la gestion (stratégie, marketing, finance, production, gestion des ressources humaines) et de l’acquisition de compétences dans les domaines du management de la qualité, de la gestion de projets, de la gestion de l’innovation et de la recherche, les ingénieurs-es agronomes sont capables de prendre en charge différentes fonctions dans les entreprises de production, de transformation ou de service (conseil, distribution, secteur bancaire….), dans des organisations de type associatif ou mutualiste ou dans des institutions publiques.

Dans ces domaines, l’ingénieur-e agronome développe plus particulièrement des capacités spécialisées lui permettant :

- d’élaborer un diagnostic stratégique et de mettre en place les projets stratégiques ;
- de conduire une analyse financière et de construire un business plan ;
- d’élaborer un diagnostic et une stratégie marketing et de mettre en place le marketing mix (politique de produit, de prix, de communication et de distribution) ;
- de maîtriser la gestion de l’innovation, d’organiser et d’évaluer le management de la qualité, de la recherche et du développement ;
- de contribuer au développement international des entreprises par une bonne connaissance du contexte mondial des échanges et des techniques de gestion du commerce extérieur.

- Agro TIC - Technologies de l’information et de la communication appliquées à l’agronomie
Sur la base d’acquisitions de connaissances solides dans les domaines de :
- l’information géo-référencée (bases de données, systèmes d’informations géographique, techniques de positionnement, télédétection),
- l’instrumentation pour la mesure, le contrôle et le partage de l’information (capteurs, centrales d’acquisition, régulation, automatique, échange de données informatiques),
les ingénieurs-es possèdent une connaissance récente et complète du spectre des nouveaux outils et de leur évolution potentielle. Ils-elles développent une double expertise permettant la définition de besoins et de fonctions ainsi que la maîtrise des systèmes d’information indispensables aux entreprises et aux services de l’agronomie au sens large (environnement, production, expertise, etc…).

Dans ces domaines, l’ingénieur-e agronome développe plus particulièrement des capacités spécialisées lui permettant de :

- mettre en œuvre une démarche nécessaire à l’évaluation des besoins en systèmes d’information dans le domaine de l’agronomie ;
- proposer et de définir les fonctions nécessaires à la mise en place d’un système d’information permettant de répondre aux besoins actuels et futurs des professionnels (contrôle, traçabilité, partage des données, etc.. ) ;
- concevoir des solutions prenant en compte les spécificités et les évolutions à venir du domaine de l’agronomie ;
- développer et de mettre en œuvre des solutions ;
- d’assurer le suivi et la maintenance des systèmes d’information en place de même que la formation des utilisateurs finaux.

- Amélioration des plantes et ingénierie des productions méditerranéennes
Sur la base d’un approfondissement des connaissances dans le domaine des sciences du végétal (génétique et génomique, physiologie et écophysiologie, biostatistique) complété par l’acquisition des méthodes et outils appropriés, les ingénieurs agronomes de cette spécialisation acquièrent un savoir-faire pour analyser les besoins d’un secteur de production végétal, débouchant sur l’établissement d’objectifs et la mise en œuvre de stratégies, notamment en matière d’amélioration du matériel végétal. Les connaissances et compétences sont mises en œuvre notamment dans le cadre des filières végétales des zones méditerranéennes et tropicales, concrétisant l’apport du matériel végétal à la production végétale durable dans ces milieux souvent difficiles ou contraints.
L’ingénieur agronome au terme de la formation aura des acquis professionnels lui permettant :
- d’évaluer et de gérer la diversité génétique végétale, en vue de son utilisation
- de mettre en œuvre ou de contribuer à un programme de sélection créatrice,
- de protéger et de valoriser les innovations végétales dans les filières semences et plants
- de caractériser le matériel végétal obtenu, grâce à la maîtrise des dispositifs expérimentaux, et à la connaissance des démarches de phénotypage.

La formation intégre les contextes juridiques et socio-économiques qui sous-tendent les missions à assumer dans des contextes variés au plan national ou international.

- Chimie et bioprocédés pour un développement durable
L’acquisition de connaissances pluridisciplinaires dans les domaines de la sélection, l'amélioration et la production durable de biomasse végétale, des procédés physiques, chimiques et biotechnologiques de transformation, de l'évaluation économique et environnementale des filières et de la gestion de production industrielle, permettra aux ingénieurs-es agronomes d'appréhender de façon intégrée le domaine de la production durable de biomolécules, matériaux et carburants de substitution à partir de matières premières d'origine agricole et de prendre en charge différentes fonctions au sein d'entreprises du secteur de l'agro-industrie, de la chimie ou des secteurs transversaux connexes (éco-évaluation, veille réglementaire et institutionnelle).
Dans ces domaines, l’ingénieur-e agronome développera plus particulièrement des capacités spécialisées lui permettant, à l’interface des questions techniques et socio-économiques et en interaction avec des professionnels de la chimie :
- d’élaborer un diagnostic stratégique pour le développement de procédés de production durables des points de vue à la fois environnemental et économique ;
- de mettre en place une démarche expérimentale ou de recherche appliquée ;
- de concevoir de nouveaux produits ;
- d'en évaluer l'impact environnemental et le cycle de vie ;
- d'en gérer la production et les flux (approvisionnements, commercialisation, logistique…) ;
- de définir des objectifs de sélection ou d'amélioration des plantes pour des usages non-alimentaires ;
- de préparer et mettre en œuvre une stratégie de marketing dans le domaine des bioproduits ;
- d'assurer une veille réglementaire, scientifique et technologique
- de réaliser de diagnostics et des audits.

- Elevages en milieux difficiles
Sur les bases d’acquisition de connaissances approfondies en zootechnie et agronomie, les ingénieurs-es agronomes sont capables de résoudre des problèmes complexes relevant à la fois de la technique (en alimentation, reproduction, production laitière ou croissance, productions fourragères, systèmes fourragers, valeurs alimentaires des fourrages et des aliments concentrés, …) et de l’organisation des acteurs (formalisation des problèmes à l’aide d’outils de diagnostic), d’identifier les questions techniques sous-jacentes et de concevoir des solutions. Sur les aspects sociaux et organisationnels, il s’agit de savoir repérer les dynamiques sociales importantes autour des questions qu’il-elle traite et pour interagir avec des spécialistes d’autres disciplines (économistes, socio-anthropologues, juristes….). Ces méthodes sont applicables à toutes situations d’élevages en milieux difficiles, qu’il s’agisse de la production, des filières ou de l’évaluation de l’impact de l’élevage sur l’environnement.

- Gestion de l’eau, des milieux cultivés et de l’environnement
Sur les bases d’acquisition de connaissances approfondies sur les processus et les milieux concernés, sur les enjeux de gestion de l’eau, des milieux cultivés et de l’environnement, les ingénieurs-es agronomes sont capables de gérer l’eau et les sols dans les milieux cultivés pour l’agriculture et l’environnement, à partir de :
- la gestion quantitative de l’eau : gestion des ressources, gestion de l’irrigation et de périmètre irrigués pour la production végétale,
- la gestion de la qualité de l’eau dans les bassins ressources : surveillance, préservation et reconquête de la qualité de l’eau,
- la gestion de l’utilisation des déchets liquides et solides en agriculture : traitements initiaux des déchets, plans d’épandage, évaluation des impacts environnementaux,
- la gestion des sols et des milieux cultivés.
Les ingénieurs-es agronomes utilisent à ces effets, les méthodologies les plus modernes : modélisation, SIG, gestion intégrée des ressources. Ils-elles sont aptes à traduire les contextes juridiques et sociaux en actions techniques et à appréhender des contextes variables au plan international.

- Productions Végétales Durables
Sur les bases d’acquisition de connaissances pluridisciplinaires, les ingénieurs agronomes sont capables d’analyser et de gérer le fonctionnement du système sol-plante-climat, la conduite des cultures en lien avec des objectifs de qualité, de rentabilité et de protection de l’environnement d’utiliser les approches systémiques et multicritères appliquées à la gestion de la production végétale et des ressources naturelles à différentes échelles (parcelles, exploitation, territoire, filière) en utilisant les outils de traitement des données expérimentales, d’enquête et la modélisation des systèmes.
En mettant l’accent sur la formation méthodologique, illustrée dans des contextes et sur des productions très diversifiée, cette formation ouvre aux métiers de l’ingénierie agro-écologiques aussi bien dans les agricultures du nord que dans celles du sud.


- Protection des plantes et environnement
Sur la base d’acquisition de connaissances de haut niveau dans les domaines de la santé du végétal, de la zoologie agricole, de la pathologie végétale, de la malherbologie, de la phytopharmacie, de la dynamique des populations et de l’épidémiologie, de la modélisation, les ingénieurs-es agronomes sont capables de développer et d’appliquer des pratiques phytosanitaires respectueuses de l’environnement dans le contexte de la production raisonnée intégrée et de la gestion durable des agrosystèmes.

Dans ces domaines, l’ingénieur-e agronome développe plus particulièrement des capacités spécialisées lui permettant de :

- effectuer des diagnostics sur l’état sanitaire des cultures ;
- mettre en oeuvre une expertise sur les aspects aval et amont de la production liés à la protection des plantes (résidus, quarantaine, aspects législatifs) ;
- concevoir des systèmes de production durable et de proposer des stratégies agro-environnementales optimales en tenant compte de leur impact sur le milieu ;
- gérer l’utilisation des produits phyto-sanitaires ;
- traiter des problèmes de qualité / sécurité des produits alimentaires ou transformés ;
- appréhender l’ensemble des référentiels et guides des bonnes pratiques ;
- mettre en place une démarche expérimentale ou de recherche appliquée ;
- préparer et mettre en œuvre une stratégie de marketing dans le domaine des agro-fournitures.

- Territoires et ressources : politiques publiques et acteurs
Sur les bases d’acquisition de connaissances approfondies en sciences sociales « pour agronomes » : économie, sociologie, géographie et gestion, constituant un bagage analytique solide, les ingénieurs-es agronomes sont capables d’exercer à l’interface des questions techniques et socio-économiques ou politiques concernant la gestion du territoire et de ses ressources : les activités agricoles et leur impact environnemental, la qualification des produits et des territoires, leur insertion dans le marché, la gestion d’espaces préservés, les relations entre activités rurales et aménagement urbain

- Viticulture, Œnologie et Économie-Gestion-Marketing viti-vinicoles
Sur la base d’acquisitions de connaissances de haut niveau dans les domaines de la Viticulture (génétique, développement du végétal, éco-physiologie, environnement, production et génie viticoles, protection raisonnée du vignoble), de l’Œnologie (composition du raisin et du vin, analyses chimiques et sensorielles, microbiologie des fermentations, techniques de vinification et de traitements des vins, génie œnologique, conditionnement) et de l’Économie (économie et législation de la filière, gestion de l’entreprise, marketing), les ingénieurs-es agronomes sont capables, à l’échelon national ou international, de concevoir, de développer et d’appliquer des pratiques conduisant à la production de vendanges et de vins de diverses typicités, de haute qualité organoleptique et sanitaire et, également de participer au développement des circuits de commercialisation de ces vins.

Dans ces domaines, l’ingénieur-e agronome développe plus particulièrement des capacités spécialisées lui permettant de :

- concevoir des systèmes de production intégrés et durables en adéquation avec la notion de terroir au sens large du terme (conduite, variétés, équipements) ;
- développer l’utilisation des méthodes de lutte raisonnée pour la protection du vignoble ;
- mettre en œuvre des techniques de vinification éprouvées ou innovantes, adaptées à l’élaboration de vins de haute qualité ;
- mettre en œuvre l’ensemble des référentiels et guides des bonnes pratiques ;
- mettre en place une démarche expérimentale ou de recherche finalisée ;
- préparer et mettre en œuvre une stratégie de marketing des produits de la filière.

Les programmes pédagogiques sus-cités, complétés d’une part, par la réalisation de stages techniques obligatoires en entreprises (vinification et chai) qui donnent lieu à la rédaction et à la soutenance de deux mémoires décrivant les activités de vinification et de travail de chai, et d’autre part, par des compléments d’enseignements (approfondissement, ouverture, intégration), permettent à Montpellier SupAgro, via l’Institut des Hautes Etudes de la Vigne et du Vin, de délivrer le Diplôme National d’Oenologue.


Secteurs d’activités :

Spécialisation « Agroalimentaire et Agro-industrie »
Secteurs d’activités :
Industries de valorisation alimentaires et non alimentaires des productions agricoles : agro-industrie, agroalimentaire et industries connexes (cosmétiques et phytopharmacie), restauration hors foyer, approvisionnement, logistique, gestion de production , recherche-développement, qualité–sécurité-environnement, distribution – négoce, sociétés d’ingénierie, de service, cabinets de conseil et d’audit …
Fonctions :
Responsable de production, responsable qualité-sécurité-environnement, ingénieur-e d’études, ingénieur-e conseil, responsable d’approvisionnement, de logistique...

Spécialisation « Agro-managers»
Secteurs d’activités :
Entreprises agroalimentaires, organisations professionnelles agricoles, coopératives, groupements de producteurs, services publics, sociétés de services, cabinets de conseil et d’audit, grande distribution, négoce, restauration hors foyer, secteur bancaire …
Fonctions :
Chargé-e d’études stratégiques, responsable marketing, chargé-e d’études marketing, chef de produit ou de marché, responsable financier, chargé-e de clientèle (banque ou organisme financier), responsable qualité, ingénieur-e d’études ou de conseil dans un cabinet de consultants, créateur-trice d’entreprise, responsable export.


Spécialisation «Agro TIC - Technologies de l’information et de la communication appliquées à l’agronomie »
Secteurs d’activités :
S’agissant d’un domaine transversal, les secteurs d’activités sont très divers : industries (agro-alimentaires, génie des équipements, équipementiers dans le domaine de la mesure sur les produits agricoles), conseil et expertise par les technologies de l’information (instituts techniques, sociétés de conseils, collectivités territoriales), recherche-développement, SS2I, concepteurs et diffuseurs de logiciels, etc
Fonctions :
Ingénieur-e de recherche et développement, ingénieur-e technico-commercial-e, ingénieur-e conseil, formateur-trice, conseiller-ère agricole…

Spécialisation « Amélioration des plantes et ingénierie des productions méditerranéennes » (APIMET)
Secteurs d’activités :
Les employeurs potentiels sont les établissements de sélection, de production ou d’agro-fourniture, les organisations professionnelles agricoles, les organismes de recherche appliquée, de formation ou de développement, les centres internationaux de recherche agronomique, les structures de service ou de conseil à l’agriculture, les bureaux d’études et les sociétés d’aménagement. Les cibles géographiques d’activité sont les zones méditerranéennes et tropicales
Fonctions :
Sélectionneur-se, responsable contrôle génétique, ingénieur-e de recherche, responsable de laboratoire, responsable de stations de recherche, chef-fe de projet génétique, ingénieur-e qualité en génétique, expérimentateur-trice ou responsable d’expérimentation développement, chef-fe de produit responsable semences, conseil aux producteurs de semences, ingénieur-e commercial-e, ingénieur-e développement, ingénieur-e chargé-e de mission.


Spécialisation « Chimie et bioprocédés pour un développement durable »
Secteurs d’activités :
La spécialisation prépare les ingénieur-e-s pour différentes fonctions d'encadrement du secteur de l'agro-industrie, de la chimie ou des secteurs transversaux connexes (éco-évaluation, veille réglementaire et institutionnelle). Les entreprises et organismes d'accueil privilégiés de ces ingénieurs sont :
- des services R&D des entreprises agro-industrielles, chimiques, pharmaceutiques, cosmétiques, ...
- des unités de production des entreprises agro-industrielles, chimiques, pharmaceutiques, cosmétiques, ...
- des sociétés de service et de consultance (évaluation des filières et des process),
- des entreprises de logistique et de négoce de matières premières ou de produits intermédiaires,
- des organismes définissant des politiques d'orientation ou incitation au niveau régional, national ou international.
Fonctions :
Les métiers sont du type ingénieur-e R&D, coordonnateur-trice de projet, ingénieur-e de gestion de la production, ingénieur-e méthodes et/ou organisation, responsable/gestionnaire (approvisionnement, production, contrôle-qualité, sécurité et environnement, ordonnancement, logistique, personnel), ingénieur-e d'études-conseil.

Spécialisation « Elevage en milieux difficiles » (EleMiDi)
Secteur d’activités :
Parcs Nationaux et Régionaux, Syndicats d’éleveurs, Syndicats de distribution d’eau, Société d’aménagement rural et périurbain, Sociétés d’expérimentation de références variétales.
Fonctions :
Responsable de services techniques ou de la planification du développement des productions animales du secteur public et para-public. Ingénieur-e de programmes et de projets d’organismes internationaux, nationaux ou d’entreprises dans des filières animales. Responsable de division dans des sociétés d’amont (matériel d’élevage, aliments du bétail…) ou d’aval (organisation des approvisionnements, contrôles qualité) des filières animales, dans les secteurs techniques ou technico-commerciaux.

Spécialisation « Gestion de l’eau, des milieux cultivés et de l’environnement » (GEME)
Secteur d’activités :
Ingénieur-e d’études, ingénieur-e conseil, ingénieur-e expérimentation, ingénieur-e technico-commercial, responsable de production, conseiller-ère environnemental, animateur-trice – formateur-trice, expert-e, responsable d’approvisionnement, ingénieur-e conseil
Fonctions :
Ingénieur-e d’étude eau et environnement, Animateur-trice de bassin versant, Ingénieur-e environnement en entreprise, Ingénieur-e en administration territoriale (sur concours) ou dans des établissement publics, Ingénieur-e recherche développement, Ingénieur-e conseil en agriculture-environnement.

Spécialisation « Production Végétale Durable » (PVD)
Secteur d’activités :
- Bureaux d'études, sociétés de prestation de service, Instituts Techniques
- Sociétés d'aménagement rural et périurbain
- Chambres d'agriculture et autres structures de développement agricole
- Service environnement de grandes entreprises, Service achat des groupes agroalimentaires
- Sociétés de distribution d'engrais et amendement, Coopératives et groupes coopératifs
- Sociétés d'expérimentation pour la création de références variétales ou agronomiques
Fonctions :
Ingénieur-e de recherche ou d’étude, responsable de formateur, responsable d’approvisionnement, responsable de production, ingénieur-e technico-commercial-e, ingénieur-e d’expérimentation, expert-e, ingénieur-e conseil, animateur-trice de filières

Spécialisation « Protection des plantes et environnement »
Secteurs d’activités :
Industries agro-pharmaceutiques, PME agro-fournitures, instituts techniques et de recherche, organisations professionnelles agricoles, coopératives, sociétés de conseils, groupements de producteurs, services publics, grande distribution, enseignement secondaire et supérieur, organismes de recherche.
Fonctions :
Ingénieur-e d’études, ingénieur -econseil, ingénieur-e expérimentation, ingénieur-e technico-commercial, responsable de production, conseiller-ère environnemental-e, animateur-trice – formateur-trice, expert-e, responsable d’approvisionnement, conseiller-ère agricole.

Spécialisation « Territoires et ressources : politiques publiques et acteurs » (TERPPA)
Secteur d’activités :
Exercer aux niveaux national et international des compétences d’ingénieur-e-s généralistes et polyvalents reposant sur une forte spécificité « sciences du vivant », dans les secteurs suivants :
Sociétés privées et établissements publics, administrations territoriales, instituts techniques, organisations professionnelles agricoles, organismes de recherche et d’enseignement, coopératives et groupements d’employeurs, sociétés de négoce et de la grande distribution, entreprises de transformation, organismes de certifications, sociétés de conseils et d’audit, bureaux d’études, organismes bancaires, …
Parcs Nationaux et Régionaux, Syndicats d’éleveurs, Syndicats de distribution d’eau, Société d’aménagement rural et périurbain, Sociétés d’expérimentation de références variétales.
Champs géographiques : France, Europe, International.
Fonctions :
- Appui à l'élaboration ou à l'évaluation des politiques agricoles, agri-environnementales et des actions de développement territorial en lien avec le rural, en bureau d'études, sociétés d’aménagement rural, sociétés d’économie mixte, sociétés privées et institutions publiques (territoriales, nationales ou européennes)
- Développement local en collectivités territoriales, services publics : conception et conduite de projet, appui à la gestion territoriale (Préparation possible au concours A de la fonction publique territoriale)
- Développement agricole en organismes agricoles ou para-agricoles, instituts techniques agricoles ou environnementaux : appui aux agriculteurs, conception et conduite de projets, animation, médiation…

Spécialisation « Viticulture et œnologie »
Secteurs d’activités :
Filière Vigne, production de la vigne en France et à l’étranger, domaines, caves particulières et coopératives, négoces, laboratoires d’œnologie, cabinets conseil-développement en viticulture et en oenologie, organisations professionnelles agricoles, services publics, instituts techniques et de recherche publics ou professionnels en liaison avec la filière, expérimentation, enseignement.
Fonctions :
Directeur-trice de vignoble, directeur-trice de cave ou de production, directeur-trice de domaine, ingénieur-e d’études, ingénieur-e conseil, ingénieur-e expérimentation, ingénieur-e technico-commercial, animateur-trice-formateur-trice, expert-e, responsable d’approvisionnement, conseiller-ère technique.

Type d'emplois accessibles :

....

Code(s) ROME :
  • A1303 - Ingénierie en agriculture et environnement naturel
Références juridiques des règlementations d’activité :
Le cas échant, prérequis à l’entrée en formation :

A compléter (Reprise)


Le cas échant, prérequis à la validation de la certification :

Pré-requis disctincts pour les blocs de compétences :
Non

Validité des composantes acquises :
Voie d’accès à la certification Oui Non Composition des jurys
Après un parcours de formation sous statut d’élève ou d’étudiant X Enseignants-chercheurs et professionnels
En contrat d’apprentissage X -
Après un parcours de formation continue X Enseignants chercheurs et professionnels
En contrat de professionnalisation X -
Par candidature individuelle X Enseignants chercheurs et professionnels
Par expérience X Enseignants chercheurs et professionnels
Oui Non
Inscrite au cadre de la Nouvelle Calédonie X
Inscrite au cadre de la Polynésie française X

Référence au(x) texte(s) règlementaire(s) instaurant la certification :

Date du JO / BO Référence au JO / BO
-

Date initiale d’habilitation par la Commission des Titres d’Ingénieur : avant 1934

Référence des arrêtés et décisions publiés au Journal Officiel ou au Bulletin Officiel (enregistrement au RNCP, création diplôme, accréditation…) :

Date du JO / BO Référence au JO / BO
-

Dernier arrêté d’habilitation par la Commission des Titres d’Ingénieur : janvier 2009

Référence autres (passerelles...) :

Date du JO / BO Référence au JO / BO
-

Décret n° 2002-590 du 24 avril 2002 pris pour application du premier alinéa de l’article L. 613-3 et de l’article L. 613.4 du code de l’éducation relatif à la validation des acquis de l’expérience par les établissements de l’enseignement supérieur (JO du 26 avril 2002)

-

Décret n°2006-1593 du 13 décembre 2006 portant création du grand établissement  EPSCT

Statistiques :
Lien internet vers le descriptif de la certification :

Site internet de l'école Portail web de l’enseignement agricole français

http://www.supagro.fr

http://enseignement-agricole.agriculture.gouv.fr/formations.html


http://www.supagro.fr
http://enseignement-agricole.agriculture.gouv.fr/formations.html

Le certificateur n'habilite aucun organisme préparant à la certification

Nouvelle(s) Certification(s) :
N° de la fiche Intitulé de la certification remplacée
RNCP2000 Titre ingénieur - Ingénieur-e de l'Institut national d'Etudes Supérieures Agronomiques de Montpellier (Montpellier SupAgro)Spécialité: Agronomie à vocation générale
Fiche au format antérieur au 01/01/2019
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