L'essentiel

Icon de la nomenclature

Nomenclature
du niveau de qualification

Niveau 7

Icon NSF

Code(s) NSF

115 : Physique

225 : Plasturgie, matériaux composites

255 : Electricite, électronique

Icon formacode

Formacode(s)

24154 : Énergie

11454 : Physique

23021 : Plasturgie

24054 : Électricité

Icon date

Date d’échéance
de l’enregistrement

31-08-2025

Niveau 7

115 : Physique

225 : Plasturgie, matériaux composites

255 : Electricite, électronique

24154 : Énergie

11454 : Physique

23021 : Plasturgie

24054 : Électricité

31-08-2025

Nom légal Siret Nom commercial Site internet
INSTITUT POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE 19381912500017 - -

Objectifs et contexte de la certification :

La région grenobloise tire son dynamisme économique de la présence d’une concentration exceptionnelle d’entreprises leaders dans leurs domaines, de nombreux laboratoires, des grands organismes et instituts de recherche. Cette région a une tradition d’excellence de la recherche et de l’innovation dans les domaines de la physique, de la microélectronique, de l’information et de la communication. Récemment, le territoire s’est placé en tête des Métropoles françaises (hors Paris) en termes d’innovation grâce au nombre très important de créations d’entreprises (plus de 600 start-ups au cours des 20 dernières années, dont 75% depuis 2010). A présent, la région fait de la relocalisation, de la souveraineté industrielle et de l’emploi des grandes priorités. Chef de file du développement économique, elle a pour objectif de soutenir la compétitivité et la croissance de toutes les entreprises.

Plusieurs filières techniques d’excellence se trouvent implantées sur le territoire :

  • La filière micro et nano-électronique - l’écosystème grenoblois est une des cinq premières places mondiales avec plus de 20.000 emplois dans les entreprises et plus de 3.000 chercheurs dans des laboratoires publics, instituts ou organismes de recherche. IL s’agit d’un secteur technologique de pointe, concurrentiel et en constante évolution, avec des défis techniques et technologiques majeurs pour répondre à la croissance exponentielle des capteurs, objets connectés, calcul efficace et frugal, stockage et microsystèmes.
  • La filière informatique et logiciel est animée par un grand nombre de centres de recherche privées et publics autour du pôle de compétitivité mondial des technologies du numérique - Minalogic, la métropole grenobloise étant labellisée Capitale French Tech.
  • La filière de l’énergie est très présente dans l’écosystème grenoblois et représente 17.000 emplois dont environ 15.000 dans l’industrie. Les cinq grands secteurs de l’énergie sont concernés : hydraulique, hydrogène, smart-grids et stockage, solaire et efficacité énergétique de bâtiments.
  • La filière des technologies de la santé est représentée dans l’écosystème grenoblois par un nombre grandissant de startups ayant créé plus de 3.200 emplois en quinze ans, entourées par la présence de nombreux laboratoires publics et privés.
  • Le secteur de l’électrochimie et génie des matériaux innovants est représenté par plus de 400 entreprises, et une cinquantaine de startups et centres de recherche à la pointe. Première métropole à avoir mis en œuvre un Plan Climat dès 2005, la région grenobloise est pionnière en matière d’industrie écologique, pour la préservation de l’environnement, la construction intelligente, les matériaux innovants, les énergies renouvelables et décarbonées, l’électrochimie verte, le recyclage.

L’école d’ingénieurs Phelma est une des huit Écoles d’ingénieurs de Grenoble INP, Institut d’Ingénierie et de Management de l’Université Grenoble Alpes. Se trouvant au cœur de ce riche écosystème industriel grenoblois, l’école Phelma forme des ingénieurs qui pourront répondre aux besoins actuels et de demain de ce très riche tissu économique et scientifique.

Dans ce contexte, l’école d’ingénieurs Phelma propose de certifier des ingénieurs à forte compétence technique et managériale, ouverts et dotés de l’éthique indispensable pour s’investir dans les besoins en évolution rapide des entreprises du XXI siècle. L’exigence attachée à la formation scientifique large et de haut-niveau suivie, leur permet de développer de fortes capacités d’abstraction et constitue une plus-value majeure et reconnue des entreprises. Ils sont ainsi en mesure d’aborder des problématiques complexes dans une des spécialisations suivantes :

  • Micro & nanotechnologies (microélectronique, systèmes embarqués, architectures), 
  • Énergies décarbonées (nucléaire, photovoltaïque, stockage électrochimique), 
  • Matériaux innovants (optimisation des poids/résistance/isolation/durabilité pour les transports, l’énergie, les loisirs, la santé, la microélectronique, le bâtiment…), 
  • Technologies de l’information (communication numérique, télécommunications, informatique et réseaux, Internet des objets, intelligence artificielle),
  • Ingénierie biomédicale (imagerie et thérapie médicale, dispositifs implantables)
  • Développement durable (énergies décarbonées, stockage électrochimique de l’énergie, analyse des signaux naturels, écoconception, recyclage, durabilité des matériaux…).

Activités visées :

L’ingénieur Grenoble INP - Phelma, en début de carrière sera amené à travailler dans un des domaines d’activité suivants (en lien avec sa filière de spécialisation à Phelma), soit :

  • micro-nanotechnologies, électronique, photonique, opto-électronique, systèmes embarqués,
  • bio-médical
  • matériaux
  • technologies de l’information et sciences de données,
  • systèmes d’information
  • réseaux et télécommunications,
  • Systèmes de production stockage et transformation d’énergies renouvelables et de-carbonées

Quel que soit le domaine spécifique d’activité, l’ingénieur(e) de Grenoble INP -Phelma sera amené à :

  • Analyser les besoins et les attentes d’un client ou d’un projet pour comprendre le positionnement par rapport au marché afin d’apporter des solutions techniques adaptées
  • Analyser, élaborer et rédiger le cahier des charges technique d’un produit, d’un système ou d’un équipement, d’une prestation ou d’une installation, à partir des caractéristiques fonctionnelles et des contraintes techniques, en collaboration avec les autres spécialistes impliqués dans le projet.
  • Évaluer la faisabilité et la rentabilité d'un projet en s’appuyant sur des études préliminaires
  • Effectuer une veille technologique afin d'identifier les améliorations techniques possibles et/ou l’innovation.
  • Réaliser le diagnostic d’un projet d’entreprise
  • Quantifier les impacts socio-économiques et environnementaux d'un projet dans son domaine d’activité
  • Modéliser, simuler, prototyper des parties d’un système ou le système entier
  • Caractériser un composant ou un système
  • Réaliser des tests de validation et des essais de mise au point, analyser les résultats et déterminer des solutions appropriées
  • Identifier et analyser l'ensemble des contraintes réglementaires et des règles de sécurité liées au procédé de fabrication, ou de la mise en production et proposer des solutions qui intègrent ces contraintes.
  • Élaborer un dossier de mise en fabrication, ou en production, d’industrialisation d’un produit, et le mettre en œuvre.
  • Concevoir et développer des nouveaux modes opératoires, des procédés de fabrication, d’industrialisation, des nouvelles fonctionnalités, de nouveaux modèles de calcul, des procédés de fabrication ou d'industrialisation, des algorithmes, des solutions techniques par rapport à des contraintes techniques des utilisateurs et des coûts ou dans le cadre d’un projet d’innovation ou de recherche
  • Améliorer et optimiser de nouveaux produits, modes opératoires, procédés, architectures, techniques, etc. par une veille technique et économique et par l’actualisation de connaissances
  • Spécifier différentes méthodes d’analyse qui permettront de développer des solutions innovantes, en tenant compte des contraintes (techniques., budgétaires, temporelles, etc.).
  • Traiter l’information (collecte, classification, hiérarchisation, mise à jour de données)
  • Maitriser des outils d’aide à la conception, à l’intégration, au test, à la maintenance
  • Valoriser les résultats
  • Piloter des projets techniques en lien avec le domaine d’activité
  • Coordonner ou diriger l’activité d’une équipe ou d’une structure en milieu international et multiculturel

Compétences attestées :

Au terme de la certification, les ingénieurs Phelma auront acquis des connaissances scientifiques et techniques et la maîtrise de leur mise en œuvre. En l’occurrence, ils seront amenés à :

  • Acquérir la connaissance et la compréhension d’un large champ de sciences fondamentales de la physique, de l’électronique, de l’électrochimie, des matériaux, de l’informatique et des mathématiques pour les sciences de l’ingénieur, selon leur filière de formation.
  • Développer des aptitudes à mobiliser des ressources d’un ou de plusieurs champs scientifiques et techniques, spécifiques à leur filière de formation à Phelma
  • Concevoir, adapter et optimiser, par rapport à un cahier des charges, tout en respectant les contraintes diverses et en questionnant les usages :
    • des circuits numériques, analogiques, des mémoires, des dispositifs optroniques (lasers, photo commutateurs, cellules photovoltaïques, etc.), des circuits RF/HF, des systèmes embarqués, un système d’opération, des architectures matérielles ou logicielles, des prototypes, des cartes, des systèmes sur puce, des algorithmes ou des logiciels applicatifs– dans le domaine des micro-nanotechnologies, électronique, photonique, opto-électronique, systèmes embarqués.
    • des dispositifs biomédicaux, des dispositifs implantables, nanoparticules, biomatériaux actifs, des équipements de surveillance ou de mesure de paramètres biophysiques, des dispositifs ou des procédés de collecte de données cliniques diverses, d’analyse des images, interfaces homme-machine, une réglementation sanitaire – dans le domaine biomédical
    • des matériaux innovantes (ex. céramiques, polymères, métaux, alliages, composites…) élaborés sur la base de critères techniques, économiques, environnementaux et de fin de vie ; des chaînes de fabrication de matériaux ou de produits, ou des études en laboratoires d’essai ;  des méthodes de conception et de transformation, des normes et des procédures de qualité et d’amélioration continue et de recyclage – dans le domaine de matériaux innovants
    • des systèmes matériels et logiciels, des algorithmes complexes capables d’analyser un signal électrique, acoustique, électromagnétique ou numérique, des programmes applicatifs, intégrés à des logiciels ou à des composants électroniques, pouvant transformer et donner du sens aux données recueillies, des logiciels – dans le domaine des technologies de l’information, systèmes d’information, réseaux et télécommunications.
    • des produits et des installations de production, de stockage et de transformation de l’énergie décarbonées, des études de terrain– dans le domaine des énergies renouvelables et décarbonées (nucléaire notamment).
  • Mettre en place une méthodologie, une méthode, ou un outil, en étant capable de justifier ses choix, analyser et positionner le résultat :
    • Relatif à la conception, l’évaluation ou au test de circuits intégrés, de dispositifs, de système d’exploitation, de systèmes embarqués, de systèmes matériel-logiciels, de systèmes sur puce, de cartes et de prototypes -– dans le domaine des micro-nanotechnologies, électronique, photonique, opto-électronique, systèmes embarqués et biomédical
    • Ou par rapport au suivi de procédés d’élaboration ou de transformation innovants,de caractérisation de dispositifs, des circuits, matériaux et de leurs propriétés diverses - dans le domaine de matériaux innovants
    • modélisant de comportement de matériaux sous différentes sollicitations- dans le domaine de matériaux innovants
    • de simulation fonctionnelle ou paramétrique complète de solutions potentielles, processus physiques, énergétiques – dans tous les domaines
    • de traitement d’ensembles de données de très grande taille par apprentissage automatique dans le domaine des technologies de l’information, systèmes d’information, réseaux et télécommunications et biomédical
    • d’exploitation de réacteurs nucléaires actuels et futurs - dans le domaine des énergies renouvelables et décarbonées (nucléaire notamment)
    • d’exploitation et d’analyse de risques industriels et de sûreté dans le domaine des énergies renouvelables et décarbonées (nucléaire notamment)
  • Maîtriser les méthodes et les outils de l’ingénieur : les approches numériques et les outils informatiques, l’analyse, la modélisation et la conception de solutions, ou d’une méthode, l’analyse du cycle de vie d’un produit ou d’un service, la gestion de risques dans un contexte de travail collaboratif. – dans tous les domaines
  • Effectuer des activités de recherche, fondamentale ou appliquée sur une problématique selon sa filière scientifique et technologique de Phelma, maîtriser les ordres de grandeurs des données étayées, identifier la pérennité par rapport à l’existant ou l’émergent.
  • Entreprendre et innover dans le cadre de projets personnels ou par l’implication au sein d’une entreprise ou d’un laboratoire.
  • Prendre en compte les enjeux d’une entreprise et à analyser son action par rapport à des enjeux multiples (économiques, sociales et environnementales, qualité́, compétitivité́ et productivité́, innovation, aspects de développement durable).
  • Utiliser les critères de développement durable et de responsabilité sociétale dans l’évaluation d’un projet ou solution (en fonction de la spécialité de formation de Phelma)

Au-delà des compétences scientifiques et techniques spécifiques, l’ingénieur doit être capable d’appréhender et de gérer des situations complexes grâce à des compétences transverses :   

  • S’insérer dans la vie professionnelle, s’intégrer dans une organisation, l’animer et la faire évoluer : Piloter et animer des tâches ou des projets dans les domaines d’activité en lien avec l’école d’ingénieurs Phelma, animer ou diriger une équipe ou une structure, communiquer efficacement avec des publics divers dans un contexte national comme international, respecter les délais et les réglementations en vigueur
  • S'adapter à des environnements rapidement évolutifs tant sur le plan des connaissances techniques et scientifiques que sur le plan fonctionnel et sectoriel
  • Rédiger de façon argumentée et claire tout élément relatif au contexte, un état de l’art ou un travail accompli, en faisant la démonstration de la pertinence de preuves de validation avec un esprit autocritique
  • Mettre en œuvre des outils de gestion de projet, organiser et suivre un projet jusqu’à son rendu
  • S’autoévaluer et se remettre en question par rapport aux objectifs visés et à ses propres compétences (ou de l’équipe)
  • Prendre en compte dans un environnement de travail et dans un projet de développement les enjeux éthiques, sociétaux, énergétiques, écologiques et économiques.

Modalités d'évaluation :

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences est réalisée tout au long de la scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

  1. Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.
  2. Les situations professionnelles réelles que l’élève  rencontre lorsqu'il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés par les responsables de stages directement dans un contexte professionnel.
  3. Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :
    • les rapports d'activité et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (rapport  stage1 année, soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences)
    • La soutenance du projet de fin d'études (PFE) réalisée par l’étudiant en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

Grenoble INP avec le soutien du Service Accueil Handicap du site grenoblois, évalue les besoins des étudiants en situation de handicap. Cette évaluation permet de proposer des aménagements de parcours pédagogique individualisés et un accompagnement nécessaires à la bonne réussite des étudiants en situation de handicap.

RNCP38959BC01 - Concevoir ou réaliser des solutions d’ingénierie complexes dans les domaines des micro-nanotechnologies, électronique, photonique, opto-électronique, systèmes embarqués

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Analyser des besoins d’un client, des contraintes et des exigences réglementaires, ou les besoins d’un marché, en identifiant les partenaires potentiels.

Transcrire un cahier de charges en blocs fonctionnels et fonctions élémentaires comme par exemple, des circuits numériques, analogiques, des mémoires, des dispositifs optroniques (lasers, photo commutateurs, cellules photovoltaïques, etc.), des circuits RF/HF, des systèmes embarqués, des systèmes d’opération, des architectures matérielles ou logicielles, des prototypes, des cartes, des systèmes sur puce, des algorithmes ou des logiciels applicatifs.

Modéliser, simuler et optimiser un système multidimensionnel à base de technologies microélectroniques ou photoniques, intégrées, ou un système sur puce.

Concevoir et optimiser une solution fonctionnelle de type :  circuit numérique, analogique, mémoire, dispositif optronique (lasers, photo commutateurs, cellules photovoltaïques, etc.), circuit RF/HF, systèmes embarqués, système d’opération, architectures matérielles ou logicielles, prototypes, cartes électroniques, systèmes sur puce, algorithmes ou logiciels applicatifs, et argumenter par rapport aux choix opérés.

Mettre en place une méthodologie de caractérisation, de test ou d'évaluation, relative à la conception, l’évaluation ou au test de circuits intégrés, de dispositifs, de système d’exploitation, de systèmes embarqués, de systèmes matériel-logiciels, de systèmes sur puce, de cartes et de prototypes et appliquer ces méthodes sur des cas réels issus du monde applicatif.

Maîtriser des logiciels, des techniques et des outils nécessaires à la conception et à la vérification des circuits numériques, analogiques, des mémoires, des dispositifs optroniques (lasers, photo commutateurs, cellules photovoltaïques, etc.), des circuits RF/HF, des systèmes embarqués, des systèmes d’opération, des architectures matérielles ou logicielles, des prototypes, des cartes, des systèmes sur puce, des algorithmes ou des logiciels applicatifs.

Analyser les résultats de manière structurée.

Rendre la solution fonctionnelle proposée compréhensible et réutilisable par les autres : documenter la réalisation, les méthodes de validation et les tests.

Respecter les délais et les réglementations avec rigueur.

Proposer une mise en perspective des travaux effectués.

Rendre compte avec référencement à l’oral ou à l'écrit du travail effectué.

Interagir avec les autres y compris dans un contexte interculturel, international.

Prendre en compte l’impact environnemental et social de la solution technique étudiée, de la conception jusqu’à sa réalisation en intégrant des principes du développement durable.

 

 

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences par l’élève   est réalisée tout au long de sa scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

1.            Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.

2.            Les situations professionnelles réelles qu'il rencontre lorsqu’ il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés directement dans un contexte professionnel.

3.            Plus spécifiquement, Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :  

a. les rapports d'activité́ et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (MAP+REX+soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences) ;

b. la soutenance du projet de fin d'études (PFE) réalisée par l’étudiant en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

RNCP38959BC02 - Mettre en œuvre une démarche de recherche appliquée à des fins d'innovation dans les domaines des micro-nanotechnologies, électronique, photonique, opto-électronique, systèmes embarqués

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Effectuer une veille technologique sur des solutions d’ingénierie de type circuits numériques, analogiques, mémoires, dispositifs optroniques (lasers, photo commutateurs, cellules photovoltaïques, etc.), des circuits RF/HF, systèmes embarqués, u systèmes d’opération, architectures matérielles ou logicielles, prototypes, cartes électroniques, systèmes sur puce, algorithmes ou des logiciels applicatifs en identifiant les sources d’information applicables à chaque problème.

Synthétiser et hiérarchiser les informations, positionner le besoin par rapport à l'état de l'art des avancées scientifiques, ou du monde industriel et de la société, en remettant en cause un problème à raison.

Identifier des verrous et évaluer la faisabilité de nouvelles approches intégrées (dispositifs, circuits, systèmes, logiciels embarqués, méthodes formelles de vérification) envisagées en utilisant des arguments logiques pour convaincre.

Obtenir une solution fonctionnelle nouvelle ou optimisée par des méthodes de créativité, d’innovation ou de la recherche sous la pression des échéances courtes.

Savoir se rendre autonome en mettant en œuvre un processus de définition d’objectifs et de tâches ainsi que la prise de décision, en contournant des points bloquants et en gérant des imprévus.

Communiquer (informer, expliquer et argumenter) avec référencement à l’oral ou à l'écrit avec différents publics et services, en contexte national comme international.

Rédiger de façon argumentée et claire tout élément relatif au contexte, à l’état de l’art, au travail accompli, en faisant la démonstration de la pertinence de preuves de validation avec esprit critique.

Interagir avec les autres y compris dans un contexte interculturel, international.

Prendre en compte l’impact environnemental et social de la solution technique ou technologique étudiée, de la conception jusqu’à sa réalisation.

Intégrer des principes du développement durable dans la solution de l’étude.

 

 

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences par l’élève est réalisée tout au long de sa scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

1.            Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.

2.            Les situations professionnelles réelles qu'il rencontre lorsqu'il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés directement dans un contexte professionnel.

3.            Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :

a. les rapports d'activité́ et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (MAP+REX+soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences) ;

b. la soutenance du projet de fin d'étude (PFE) réalisée par l’élève en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

RNCP38959BC03 - Concevoir ou réaliser des solutions d’ingénierie complexes dans le domaine de l’ingénierie biomédicale

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Analyser des besoins d’un client, ou les besoins d’un marché, en identifiant les partenaires potentiels.

Tenir compte de contraintes réglementaires.

Transcrire un cahier de charges en blocs fonctionnels et fonctions élémentaires.

Modéliser, simuler et optimiser un système multidimensionnel de type : dispositifs bio-médicaux, dispositifs implantables, nanoparticules, bio-matériaux actifs, équipements de surveillance ou de mesure de paramètres bio-physiques, dispositifs ou procédés de collecte de données cliniques diverses, systèmes d’acquisition et d’analyse d’images médicales.

Concevoir et optimiser une solution fonctionnelle de type sur des dispositifs d’instrumentation médicales.

Savoir argumenter par rapport aux choix opérés

Mettre en place une méthodologie de caractérisation, de test ou d'évaluation de dispositifs d’instrumentation médicale, et appliquer ces méthodes sur des cas réels issus du monde applicatif.

Maîtriser des logiciels, des techniques et des outils nécessaires à la conception, au test et à la validation de dispositifs d’instrumentation médicale.

Analyser les résultats obtenus de manière structurée.

Rendre la solution proposée compréhensible et réutilisable par les autres : documenter la réalisation, les méthodes de validation et les tests.

Respecter les délais et les réglementations avec rigueur.

Proposer une mise en perspective des travaux effectués.

Rendre compte avec référencement à l’oral ou à l'écrit du travail effectué.

Interagir avec les autres y compris dans un contexte interculturel, international.

Prendre en compte l’impact environnemental et social de la solution technique étudiée, de la conception jusqu’à sa réalisation en intégrant des principes du développement durable.

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences par l’élève est réalisée tout au long de sa scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

1.            Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.

2.            Les situations professionnelles réelles qu’il rencontre lorsqu'il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés directement dans un contexte professionnel.

3.            Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :

a. les rapports d'activité́ et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (MAP+REX+soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences) ;

b. La soutenance du projet de fin d'étude (PFE) réalisée par l'élève en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

RNCP38959BC04 - Mettre en œuvre une démarche de recherche appliquée à des fins d'innovation dans le domaine de l’ingénierie biomédicale

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Effectuer une veille technologique sur des solutions d’ingénierie bio-médicales de type dispositifs bio-médicaux, dispositifs implantables, nanoparticules, bio-matériaux actifs, équipements de surveillance ou de mesure de paramètres bio-physiques, dispositifs ou procédés de collecte de données cliniques diverses, systèmes d’acquisition et d’analyse d’images médicales en identifiant les sources d’information applicables à chaque problème.

Synthétiser et hiérarchiser les informations, positionner le besoin par rapport à l'état de l'art des avancées scientifiques, ou du monde industriel et de la société, en remettant en cause un problème à raison.

Identifier des verrous et évaluer la faisabilité des nouvelles approches biomédicales envisagées en utilisant des arguments logiques pour convaincre.

Obtenir une solution fonctionnelle par des méthodes de créativité, d’innovation ou de la recherche sous la pression des échéances courtes.

Savoir se rendre autonome en mettant en œuvre un processus de définition d’objectifs et de tâches ainsi que la prise de décision, en contournant des points bloquants et en gérant les imprévus.

Communiquer (informer, expliquer et argumenter) avec référencement à l’oral ou à l'écrit avec différents publics et services, en contexte national comme international.

Rédiger de façon argumentée et claire tout élément relatif au contexte, à l’état de l’art, au travail accompli, en faisant la démonstration de la pertinence de preuves de validation avec esprit critique.

Interagir avec les autres y compris dans un contexte interculturel, international.

Prendre en compte l’impact environnemental et social de la solution technique ou technologique étudiée, de la conception jusqu’à sa réalisation.

Intégrer des principes du développement durable dans la solution de l’étude.

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences par l’élève est réalisée tout au long de sa scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

1.            Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.

2.            Les situations professionnelles réelles qu’il rencontre lorsqu'il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés directement dans un contexte professionnel.

3.            Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :

a. les rapports d'activité́ et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (MAP+REX+soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences) ;

b. la soutenance du projet de fin d'étude (PFE) réalisée par l'élève en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

RNCP38959BC05 - Concevoir ou réaliser des solutions d’ingénierie complexes dans le domaine des technologies de l’information

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Analyser des besoins d’un client, des contraintes et des exigences réglementaires, ou les besoins d’un marché, en identifiant les partenaires potentiels.

Transcrire un cahier de charges en blocs fonctionnels.

Modéliser, simuler et optimiser un système multidimensionnel de type systèmes matériels et logiciels, algorithmes complexes capables d’analyser un signal (ex. électrique, acoustique, électromagnétique ou numérique) ou toutes modalités d’images (visibles, multispectrales, médicales), aux programmes applicatifs, intégrés à des logiciels ou des composants électroniques, pouvant transformer et donner du sens aux données recueillies, des logiciels, des méthodes de simulation de solutions potentielles, de caractérisation, des méthodologies de traitement de données de très grande taille par apprentissage automatique.

Concevoir et optimiser une solution fonctionnelle sur des dispositifs d’acquisition et/ou d’analyse de données.  Savoir argumenter par rapport aux choix opérés.

Mettre en place une méthodologie de caractérisation, de test ou d’évaluation d’un système matériel logiciel, d’un algorithme complexe, d’une méthode de simulation ou de caractérisation ou encore de traitement de données, et appliquer ces méthodes sur des cas réels issus du monde applicatif.

Maîtriser des logiciels, des techniques et des outils nécessaires à la conception et à l’analyse des performances de dispositifs d’acquisition et/ou d’analyse de données.

Analyser les résultats de manière structurée.

Rendre la solution proposée compréhensible et réutilisable par les autres : documenter la réalisation, les méthodes de validation et les tests.

Respecter les délais et les réglementations avec rigueur.

Proposer une mise en perspective des travaux effectués.

Rendre compte avec référencement à l’oral ou à l'écrit du travail effectué.

Interagir avec les autres y compris dans un contexte interculturel, international.

Prendre en compte l’impact environnemental et social de la solution technique étudiée, de la conception jusqu’à sa réalisation en intégrant des principes du développement durable.

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences par l’élève est réalisée tout au long de sa scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

1.            Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.

2.            Les situations professionnelles réelles qu'il rencontre lorsqu'il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés directement dans un contexte professionnel.

3.            Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :

a. les rapports d'activité́ et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (MAP+REX+soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences) ;

b. la soutenance du projet de fin d'étude (PFE) réalisée par l’élève en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

RNCP38959BC06 - Mettre en œuvre une démarche de recherche appliquée à des fins d'innovation dans le domaine des technologies de l’information

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Effectuer une veille technologique sur des solutions d’ingénierie en lien avec des systèmes matériels et logiciels, des algorithmes complexes capables d’analyser un signal ou une image, des programmes applicatifs pouvant transformer et interpréter des données recueillies, des logiciels, des méthodes de simulation de solutions potentielles, de caractérisation, des méthodologies de traitement de données de très grande taille par apprentissage automatique, en identifiant les sources d’information applicables à un problème donné.

Synthétiser et hiérarchiser les informations, positionner le besoin par rapport à l'état de l'art des avancées scientifiques, ou du monde industriel et de la société, en remettant en cause un problème à raison.

Identifier des verrous et évaluer la faisabilité de nouvelles solutions de type systèmes matériels-logiciels, algorithmes complexes capables d’analyser un signal électrique, acoustique, électromagnétique ou numérique ou des images diverses (visible, mulitspectrales, médicales ...), programmes applicatifs, logiciels, méthodes de simulation de solutions potentielles, de caractérisation, méthodologies de traitement de données de très grande taille par apprentissage automatique, … en utilisant des arguments logiques pour convaincre.

Obtenir une solution fonctionnelle par des méthodes de créativité, d’innovation ou de la recherche sous la pression d’échéances courtes.

Savoir se rendre autonome en mettant en œuvre un processus de définition d’objectifs et de tâches ainsi que la prise de décision, en contournant des points bloquants et en gérant des inattendus.

Communiquer (informer, expliquer et argumenter) avec référencement à l’oral et à l'écrit avec différents publics et services, en contexte national comme international.

Rédiger de façon argumentée et claire tout élément relatif au contexte, à l’état de l’art, au travail accompli, en faisant la démonstration de la pertinence des preuves de validation avec esprit critique.

Interagir avec les autres y compris dans un contexte interculturel, international.

Prendre en compte l’impact environnemental et sociale de la solution technique ou technologique étudiée, de la conception jusqu’à sa réalisation.

Intégrer des principes du développement durable dans la solution de l’étude.

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences par l’élève est réalisée tout au long de sa scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

1.            Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.

2.            Les situations professionnelles réelles qu'il rencontre lorsqu'il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés directement dans un contexte professionnel.

3.            Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :

a. les rapports d'activité́ et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (MAP+REX+soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences) ;

b. la soutenance du projet de fin d'étude (PFE) réalisée par l’élève en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

RNCP38959BC07 - Concevoir ou réaliser des solutions d’ingénierie complexes dans le domaine des matériaux innovants

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Analyser des besoins d’un client, des contraintes et des exigences réglementaires, ou les besoins d’un marché, en identifiant les partenaires potentiels.

Transcrire un cahier de charges en blocs fonctionnels.

Modéliser, simuler et optimiser un système multidimensionnel de type : matériaux innovants (ex. céramiques, polymères, métaux, alliages, composites…) en incluant des critères techniques, économiques, environnementaux et de fin de vie, des chaines de fabrication de matériaux ou de produits,  études en laboratoires d’essai, procédés d'élaboration ou de transformation innovants,  méthodologies de caractérisation des matériaux et de leurs propriétés, développements de modèles de comportement de matériaux sous différentes sollicitations, normes et procédures de qualité et d’amélioration continue et de recyclage.

Concevoir et optimiser une solution fonctionnelle relative à des systèmes de l’ingénierie des matériaux.

Savoir argumenter par rapport aux choix opérés.

Mettre en place de modèles de comportement de matériaux sous différentes sollicitations, des méthodes de conception et de transformation de matériaux, des méthodes et méthodologies de caractérisation des matériaux et de leurs propriétés, et appliquer ces méthodes sur des cas réels issus du monde applicatif.

Maîtriser des logiciels, des techniques et des outils nécessaires à la conception et aux tests.

Analyser les résultats de manière structurée.

Rendre la solution proposée compréhensible et réutilisable par les autres : documenter la réalisation, les méthodes de validation et les tests.

Respecter les délais et les réglementations avec rigueur.

Proposer une mise en perspective des travaux effectués.

Rendre compte avec référencement à l’oral ou à l'écrit du travail effectué.

Interagir avec les autres y compris dans un contexte interculturel, international.

Prendre en compte l’impact environnemental et social de la solution technique étudiée, de la conception jusqu’à sa réalisation en intégrant des principes du développement durable.

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences par l’élève est réalisée tout au long de sa scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

1.            Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.

2.            Les situations professionnelles réelles qu'il rencontre lorsqu'il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés directement dans un contexte professionnel.

3.            Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :

a. les rapports d'activité́ et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (MAP+REX+soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences) ;

b. la soutenance du projet de fin d'étude (PFE) réalisée par l’élève en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

RNCP38959BC08 - Mettre en œuvre une démarche de recherche appliquée à des fins d'innovation dans le domaine des matériaux innovants

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Effectuer une veille technologique sur des solutions d’ingénierie en lien avec les matériaux innovants (ex. céramiques, polymères, métaux, alliages, composites…) en incluant des critères techniques, économiques, environnementaux et de fin de vie,  les chaines de fabrication de matériaux ou de produits, les études en laboratoires d’essai, les procédés d'élaboration ou de transformation innovants, les méthodes de conception et de transformation, les méthodologies de caractérisation des matériaux et de leurs propriétés, le développement de modèles de comportement de matériaux sous différentes sollicitations, les normes et les procédures de qualité et d’amélioration continue et de recyclage, en identifiant les sources d’information applicables à un problème donné.

Synthétiser et hiérarchiser les informations, positionner le besoin par rapport à l'état de l'art des avancées scientifiques, ou du monde industriel et de la société, en remettant en cause un problème à raison.

Identifier des verrous et évaluer la faisabilité des nouvelles approches du domaine des matériaux innovants, en utilisant des arguments logiques pour convaincre.

Obtenir une solution fonctionnelle par des méthodes de créativité, d’innovation ou de la recherche sous la pression des échéances courtes.

Savoir se rendre autonome en mettant en œuvre un processus de définition d’objectifs et de tâches ainsi que la prise de décision, en contournant des points bloquants et en gérant les imprévus.

Communiquer (informer, expliquer et argumenter) avec référencement à l’oral ou à l'écrit avec différents publics et services, en contexte national comme international.

Rédiger de façon argumentée et claire tout élément relatif au contexte, à l’état de l’art, au travail accompli, en faisant la démonstration de la pertinence des preuves de validation avec esprit critique.

Interagir avec les autres y compris dans un contexte interculturel, international.

Prendre en compte l’impact environnemental et social de la solution technique ou technologique étudiée, de la conception jusqu’à sa réalisation.

Intégrer des principes du développement durable dans la solution de l’étude.

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences par l’élève est réalisée tout au long de sa scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

1.            Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.

2.            Les situations professionnelles réelles qu'il rencontre lorsqu'il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés directement dans un contexte professionnel.

3.            Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :

a. les rapports d'activité́ et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (MAP+REX+soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences) ;

b. la soutenance du projet de fin d'étude (PFE) réalisée par l'élève en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

RNCP38959BC09 - Concevoir ou réaliser des solutions d’ingénierie complexes dans le domaine des énergies renouvelables et décarbonées, notamment le nucléaire

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Analyser les besoins d’un client, les contraintes et les exigences réglementaires d’un marché, les besoins d’une étude de terrain, d’une méthodologie d'exploitation de réacteurs nucléaires actuels et futurs ou de systèmes de production d’hydrogène en identifiant les partenaires potentiels.

Transcrire un cahier de charges en blocs fonctionnels.

Modéliser, simuler et optimiser un système multidimensionnel relatif à des installations de production, stockage et transformation d’énergie décarbonées, des outils de modélisation et de simulation complètes des différents procédés de production d’énergie décarbonées, des outils de modélisation et de simulation des différents processus physiques, énergétiques associés aux réacteurs nucléaires, des méthodologies d’exploitation et d’analyse de risques industriels et de sûreté.

Concevoir et optimiser une solution fonctionnelle relative à des systèmes de production d’énergies décarbonées.

Savoir argumenter par rapport aux choix opérés.

Mettre en place une méthodologie de caractérisation, de test ou d’évaluation des différents processus environnementaux, physiques, énergétiques de production d’énergie décarbonées, et appliquer ces méthodes sur des cas réels issus du monde applicatif.

Maîtriser des logiciels, des techniques et des outils nécessaires à la conception et à la vérification.

Analyser les résultats de manière structurée.

Rendre la solution proposée compréhensible et réutilisable par les autres : documenter la réalisation, les méthodes de validation et les tests.

Respecter les délais et les réglementations avec rigueur.

Proposer une mise en perspective des travaux effectués.

Rendre compte avec référencement à l’oral ou à l'écrit du travail effectué.

Interagir avec les autres y compris dans un contexte interculturel, international.

Prendre en compte l’impact environnemental et social de la solution technique étudiée, de la conception jusqu’à sa réalisation en intégrant des principes du développement durable.

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences par l’élève est réalisée tout au long de sa scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

1.            Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.

2.            Les situations professionnelles réelles qu'il rencontre lorsqu'il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés directement dans un contexte professionnel.

3.            Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :

a. les rapports d'activité́ et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (MAP+REX+soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences) ;

b. la soutenance du projet de fin d'étude (PFE) réalisée par l'élève en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

RNCP38959BC10 - Mettre en œuvre une démarche de recherche appliquée à des fins d'innovation dans le domaine des énergies renouvelables et décarbonées, notamment nucléaire

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Effectuer une veille technologique sur des solutions d’ingénierie en lien avec des installations de production, de stockage et de transformation d’énergie décarbonées (nucléaire, hydrogène), des études de terrain, des méthodologies d'exploitation de réacteurs nucléaires actuels et futurs, des outils de modélisation et de simulation complètes des différents processus physiques, énergétiques associés, des méthodologies d’exploitation et d’analyse de risques industriels et de sûreté, en identifiant les sources d’information applicables à un problème donné.

Synthétiser et hiérarchiser les informations, positionner le besoin par rapport à l'état de l'art des avancées scientifiques, ou du monde industriel et de la société, en remettant en cause un problème à raison.

Identifier des verrous et évaluer la faisabilité des nouvelles approches relatives à des systèmes de production d’énergies décarbonées en utilisant des arguments logiques pour convaincre.

Obtenir une solution fonctionnelle nouvelle ou optimisée par des méthodes de créativité, d’innovation ou de la recherche sous la pression des échéances courtes.

Savoir se rendre autonome en mettant en œuvre un processus de définition d’objectifs et de tâches ainsi que la prise de décision, en contournant des points bloquants et en gérant les imprévus.

Communiquer (informer, expliquer et argumenter) avec référencement à l’oral ou à l'écrit avec différents publics et services, en contexte national comme international.

Rédiger de façon argumentée et claire tout élément relatif au contexte, à l’état de l’art, au travail accompli, en faisant la démonstration de la pertinence des preuves de validation avec esprit critique.

Interagir avec les autres y compris dans un contexte interculturel, international.

Prendre en compte l’impact environnemental et social de la solution technique ou technologique étudiée, de la conception jusqu’à sa réalisation.

Intégrer des principes du développement durable dans la solution de l’étude.

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences par l’élève est réalisée tout au long de sa scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

1.            Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.

2.            Les situations professionnelles réelles qu'il  rencontre lorsqu'il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés directement dans un contexte professionnel.

3.            Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :

a. les rapports d'activité́ et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (MAP+REX+soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences) ;

b. la soutenance du projet de fin d'étude (PFE) réalisée par l'élève en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

RNCP38959BC11 - Manager une équipe ou un projet technique ou d’innovation

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Organiser et suivre un projet technique ou une tâche de projet jusqu’à son rendu dans un domaine de d’activité d’une des filières de Phelma.

Gestion de projet : Mettre en œuvre des outils de gestion de projet : élaborer un planning initial, un plan de gestion de risques, mettre en place des indicateurs de suivi et de performance pertinents pour un projet.

Animer une équipe - donner du sens, savoir organiser, prendre en compte les contraintes (externes, environnementales, techniques, financières, RH, etc.) y compris en environnement international.

Communiquer efficacement face à un public hétérogène en intégrant des aspects de gestion de projet ou d’équipe, avec référencement à l’oral et à l’écrit.

S'autoévaluer par rapport aux objectifs visés en estimant ses propres compétences et celles de son équipe à résoudre un problème et à proposer des solutions alternatives.

Respecter les délais et les réglementations avec rigueur.

Élaborer un bilan global de projet et faire une analyse dans une logique d’amélioration continue.

S'adapter aux contraintes et gérer les aléas d’un projet (humains ou techniques), en intégrant entre autres des objectifs de développement durable, des enjeux éthiques, sociétaux et économiques.

Évaluer les impacts socio-économiques et environnementaux d'un projet.

Évaluer le niveau de risque, et les périmètres affectés internes et externes à une solution technique ou un processus d'innovation.

Interagir avec les autres y compris dans un contexte interculturel, international.

L'évaluation de l'appropriation de connaissances et de compétences par l’élève est réalisée tout au long de sa scolarité et se base sur plusieurs grands types de modalités.

1.            Les situations formelles écrites en individuel ou collectif : les examens surveillés de type QCM, ou problèmes guidés ou problèmes ouverts permettant l'évaluation formelle des savoirs. Les travaux pratiques et études de cas permettant en plus, l'évaluation des savoir-faire et des savoir-être sous forme orale ou écrite.

2.            Les situations professionnelles réelles qu'il rencontre lorsqu'il effectue ses missions lors des stages ou des expériences en milieu industriel. Ces expériences variées lui permettent de s'approprier et de maîtriser les compétences attendues en fin de scolarité. De plus, son évolution et ses progrès peuvent être constatés directement dans un contexte professionnel.

3.            Les retours et bilans écrits et oraux que doit faire l’étudiant sur son parcours durant ses trois années de formation :

a. les rapports d'activité́ et les présentations orales réalisées en fin de première et de deuxième année (MAP+REX+soutenance stage 2A, rapport et présentation orale de preuve d’acquisition de compétences) ;

b. la soutenance du projet de fin d'étude (PFE) réalisée par l'élève en toute fin de sa scolarité. Son objectif est d'une part d'évaluer le travail réalisé lors du PFE, et d'autre part de valider l'appropriation des compétences jusqu'au niveau attendu par l'école. En ce sens, cette soutenance constitue l'étape finale de validation des compétences.

Description des modalités d'acquisition de la certification par capitalisation des blocs de compétences et/ou par correspondance :

L’acquisition de la certification est acquise par la validation :

  • Des blocs 1, 2, et 11 pour les étudiants issus des filières Iphy (Ingénierie physique pour la photonique et la microélectronique), Seoc (Systèmes embarqués et objets connectés), Sei (Systèmes électroniques intégrés)
  • Des blocs 3, 4 et 11, pour les étudiants issus de la filière Biomed (Biomedical Engineering)
  • Des blocs 5, 6 et 11, pour les étudiants issus de la filière Sicom (Signal image, communications, mulitmedia)
  • Des blocs ou 7, 8 et 11, pour les étudiants issus des filières Sim (Science et ingénierie des matériaux), AM (Advance Materials) et MEP (Matériaux, Energie, Procédés)
  • Des blocs 9, 10 et 11, pour les étudiants issus des filières EPEE (Electrochimie et Procédés pour l’Energie et l’Environnement), GEN (Génie énergétique et nucléaire) et MEP (Matériaux, Energie, Procédés)
  • L’étudiant doit justifier d’un niveau B2+ (CECRL) en langue anglaise
  • D'une mobilité à l’international de 16 semaines minimum

Secteurs d’activités :

L’ingénieur Grenoble INP - Phelma reçoit une formation pluridisciplinaire permettant d'accéder aux métiers de l'ingénierie dans de nombreux secteurs d'activités. Ces professionnels exercent leur activité principalement dans des entreprises des secteurs de l’énergie, de l’industrie des TIC ( de la micro-électronique, de l’électronique, de l’informatique, de l’optoélectronique, des réseaux, de l’automatique), du contrôle des procédés, de l’automatique et de la caractérisation, mais aussi dans de nombreux secteurs d'activités tels que l'automobile, l'aéronautique, le naval, le ferroviaire, le bio-médical et l’industrie pharmaceutique, l’éco-industrie, le nucléaire, l’optique et l’optronique.

Le professionnel exerce son activité dans le domaine de la recherche et du développement, des systèmes d'information, de l'ingénierie, des études et conseils techniques, dans celui du management de projet ou de programme. Il peut également être amené à exercer son activité dans la branche du marketing et des relations clients, du commerce/finances/assurances.

Type d'emplois accessibles :

Les métiers occupés par les ingénieurs diplômés de Phelma sont :

Ingénieur Recherche et Développement 

Ingénieur en conception (en électronique, en microélectronique numérique, analogique, radio fréquence, systèmes embarqués, optronique) 

Ingénieur en conception et exploitation réseaux informatiques et de télécommunications 

Études et développement informatique 

Ingénieur Procédés de Fabrication 

Ingénieur Tests, Validation, Caractérisation, Qualité

Ingénieur Méthodes 

Ingénieur Développement de Produit 

Ingénieur développement informatique 

Ingénieur traitement d’images et du signal 

Ingénieur Calcul 

Ingénieur éco-conception 

Ingénieur Études conception 

Ingénieur Conseil 

Ingénieur Sûreté de fonctionnement 

Ingénieur d'affaires techniques 

Ingénieur Formateur 

Ingénieur Chercheur 

Ingénieur Procédés 

Ingénieur Sécurité 

Ingénieur Simulations Numériques 

Ingénieur Neutronique Data Scientist 

Responsable Études Cliniques 

Responsable RSE 

Management et Ingénierie des Méthodes industrielles 

Coordinateur de projets

Ingénieur gestion de projets

Chef de projets

Administration de Systèmes d’informations  

Code(s) ROME :

  • M1804 - Études et développement de réseaux de télécoms
  • M1805 - Études et développement informatique
  • H1102 - Management et ingénierie d''affaires
  • H1206 - Management et ingénierie études, recherche et développement industriel
  • H2502 - Management et ingénierie de production

Références juridiques des règlementations d’activité :

Le cas échant, prérequis à l’entrée en formation :

Le cas échant, prérequis à la validation de la certification :

Pré-requis disctincts pour les blocs de compétences :

Non

Validité des composantes acquises :

Validité des composantes acquises
Voie d’accès à la certification Oui Non Composition des jurys
Après un parcours de formation sous statut d’élève ou d’étudiant X

La constitution de chaque jury est définie par un arrêté. Le jury est constitué au minimum du directeur de l’école ou de son représentant, du directeur des études ou de son représentant et des responsables d’année (ou de filière) ou de leurs représentants. Les jurys se font au niveau de l’école afin de garantir un traitement équitable des élèves quelle que soit leur filière. Chaque membre du jury doit avoir effectué au moins 10h d’enseignement dans la formation concernée. Le jury est présidé par le directeur des études. Les jurys sont précédés d’une préparation de jury où l’ensemble des enseignants ayant enseigné peut donner des informations sur la situation des élèves.

En contrat d’apprentissage X

La constitution de chaque jury est définie par un arrêté. Le jury est constitué au minimum du directeur de l’école ou de son représentant, du directeur des études ou de son représentant et des responsables d’année (ou de filière) ou de leurs représentants. Les jurys se font au niveau de l’école afin de garantir un traitement équitable des élèves quelle que soit leur filière. Chaque membre du jury doit avoir effectué au moins 10h d’enseignement dans la formation concernée. Le jury est présidé par le directeur des études. Les jurys sont précédés d’une préparation de jury où l’ensemble des enseignants ayant enseigné peut donner des informations sur la situation des élèves.

Après un parcours de formation continue X

La constitution de chaque jury est définie par un arrêté. Le jury est constitué au minimum du directeur de l’école ou de son représentant, du directeur des études ou de son représentant et des responsables d’année (ou de filière) ou de leurs représentants. Les jurys se font au niveau de l’école afin de garantir un traitement équitable des élèves quelle que soit leur filière. Chaque membre du jury doit avoir effectué au moins 10h d’enseignement dans la formation concernée. Le jury est présidé par le directeur des études. Les jurys sont précédés d’une préparation de jury où l’ensemble des enseignants ayant enseigné peut donner des informations sur la situation des élèves.

En contrat de professionnalisation X

La constitution de chaque jury est définie par un arrêté. Le jury est constitué au minimum du directeur de l’école ou de son représentant, du directeur des études ou de son représentant et des responsables d’année (ou de filière) ou de leurs représentants. Les jurys se font au niveau de l’école afin de garantir un traitement équitable des élèves quelle que soit leur filière. Chaque membre du jury doit avoir effectué au moins 10h d’enseignement dans la formation concernée. Le jury est présidé par le directeur des études. Les jurys sont précédés d’une préparation de jury où l’ensemble des enseignants ayant enseigné peut donner des informations sur la situation des élèves.

Par candidature individuelle X -
Par expérience X

La constitution de chaque jury est définie par un arrêté. Le jury est constitué au minimum du directeur de l’école ou de son représentant, du directeur des études ou de son représentant, des responsables d’année (ou de filière) ou de leurs représentants et par des représentants du monde socio-professionnelle dans le cas de la VAE. Les jurys se font au niveau de l’école afin de garantir un traitement équitable des élèves quelle que soit leur filière. Chaque membre du jury doit avoir effectué au moins 10h d’enseignement dans la formation concernée. Le jury est présidé par le directeur des études. Les jurys sont précédés d’une préparation de jury où l’ensemble des enseignants ayant enseigné peut donner des informations sur la situation des élèves.

Validité des composantes acquises
Oui Non
Inscrite au cadre de la Nouvelle Calédonie X
Inscrite au cadre de la Polynésie française X

Statistiques :

Statistiques
Année d'obtention de la certification Nombre de certifiés Nombre de certifiés à la suite d’un parcours vae Taux d'insertion global à 6 mois (en %) Taux d'insertion dans le métier visé à 6 mois (en %) Taux d'insertion dans le métier visé à 2 ans (en %)
2022 334 - 95 - -
2021 342 - 94 - -
2020 326 - 88 - -
2019 334 - 90 - -
2018 318 - 95 - -

Lien internet vers le descriptif de la certification :

Liste des organismes préparant à la certification :

Certification(s) antérieure(s) :

Certification(s) antérieure(s)
Code de la fiche Intitulé de la certification remplacée
RNCP12741 Titre ingénieur - Ingénieur diplômé de l’Institut polytechnique de Grenoble, Ecole nationale supérieure de physique, électronique, matériaux

Référentiel d'activité, de compétences et d'évaluation :