L'essentiel

Icon de la nomenclature

Nomenclature
du niveau de qualification

Niveau 7

Icon NSF

Code(s) NSF

200 : Technologies industrielles fondamentales

225 : Plasturgie, matériaux composites

253 : Mécanique aéronautique et spatiale

Icon formacode

Formacode(s)

23613 : Construction aéronautique

23624 : Construction aérospatiale

32062 : Recherche développement

15099 : Résolution problème

Icon date

Date de début des parcours certifiants

01-09-2024

Icon date

Date d’échéance
de l’enregistrement

31-08-2026

Niveau 7

200 : Technologies industrielles fondamentales

225 : Plasturgie, matériaux composites

253 : Mécanique aéronautique et spatiale

23613 : Construction aéronautique

23624 : Construction aérospatiale

32062 : Recherche développement

15099 : Résolution problème

01-09-2024

31-08-2026

Nom légal Siret Nom commercial Site internet
ECOLE D INGENIEURS DES SCIENCES AEROSPATIALES 51283730300043 - -
MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE 11004401300040 - -

Objectifs et contexte de la certification :

L’Agenda 2030 adopté en septembre 2015 par les 193 Etats membres de l’ONU, est un agenda pour les populations, la planète, la prospérité, la paix et les partenariats. Il porte une vision de transformation de notre monde vers un monde plus sûr, en éradiquant la pauvreté, et en assurant sa transition vers un développement partagé et durable.


Les ingénieurs que nous certifions, et les organisations – établissements de recherche publics et privés, entreprises, administrations, associations – qui les recrutent, sont des acteurs clés de la transformation. Dans ce contexte, les défis scientifiques et technologiques sont innombrables. L’ingénieur joue un rôle déterminant dans le passage de l’idée à sa réalisation, à chaque maillon de la chaîne de valeur depuis la recherche jusqu’à sa mise en œuvre massive.

Le secteur aérospatial – couvrant les domaines aéronautique, spatial, défense et drones – est un pilier stratégique de l’économie, de la souveraineté technologique et de la transition environnementale. Il est confronté à des enjeux majeurs :

  • la décarbonation du transport aérien,
  • l’essor du NewSpace (miniaturisation, satellites en constellation, accès privé à l’espace),
  • la montée en puissance des systèmes autonomes (drones, avions sans pilote),
  • la cybersécurité et la résilience des systèmes critiques,
  • ainsi que le renouvellement générationnel des compétences techniques.

Dans ce contexte, la certification vise à répondre à un besoin croissant d’ingénieurs spécialisés en aérospatial, capables de concevoir, développer, intégrer et piloter des systèmes complexes à haute valeur technologique, dans le respect des contraintes de sécurité, fiabilité, réglementation et durabilité.

Les ingénieurs aérospatiaux certifiés sont appelés à intervenir sur l’ensemble du cycle de vie des produits et systèmes : depuis la recherche amont et la conception, jusqu’à l’intégration, la qualification, la mise en service et le maintien en conditions opérationnelles, que ce soit dans des grands groupes, des start-ups technologiques ou des institutions publiques (CNES, ONERA, DGA…).

La certification permet ainsi de garantir la formation de professionnels hautement qualifiés, capables de répondre aux exigences industrielles, sociétales et stratégiques d’un secteur en constante évolution.

Résolument tournée vers l’innovation et l’international, ELISA Aerospace intègre les connaissances et compétences de pointe pour l’aéronautique, le spatial et la défense.

Activités visées :

Les activités visées par la certification sont  :

  • Identifier les lois physiques pertinentes (mécanique, thermique, électromagnétisme…).
  • Construire des modèles mathématiques.
  • Utiliser des outils de simulation (COMSOL, ANSYS, Matlab/Simulink, etc.).
  • Analyser la sensibilité des résultats aux paramètres d’entrée.
  • Proposer et tester des solutions techniques fondées sur les résultats.
  • Définir les besoins fonctionnels du système à concevoir.
  • Réaliser des avant-projets (choix de configurations, ébauche des performances).
  • Modéliser l’aérodynamique, la propulsion, la masse et les trajectoires.
  • Choisir des matériaux adaptés aux contraintes mécaniques et thermiques.
  • Appliquer les normes DO-178, DO-254, ECSS, ou STANAG selon le contexte.
  • Réaliser des essais (en soufflerie, sur banc ou en vol).
  • Spécifier une architecture logicielle embarquée.
  • Concevoir et coder des lois de commande (PID, adaptative, prédictive…).
  • Programmer des microcontrôleurs, FPGA ou cartes temps réel
  • Gérer la communication avec les sous-systèmes.
  • Effectuer les tests unitaires, HIL, SIL, MIL et rédiger la documentation.
  • Assurer la sûreté de fonctionnement.
  • Rédiger le cahier des charges, l’organigramme des tâches et le planning Gantt.
  • Utiliser des outils de gestion (MS Project, Jira, Trello, Confluence…).
  • Animer des réunions et faire du reporting technique et financier.
  • Gérer les interfaces entre les disciplines (mécanique, électronique, logiciel).
  • Intégrer des partenaires ou fournisseurs internationaux dans la chaîne projet.
  • Documenter le projet en français et en anglais (rédaction, présentations…).
  • Réaliser une analyse de cycle de vie (ACV) d’un produit ou système.
  • Identifier des alternatives technologiques plus responsables.
  • Participer à une démarche d’écoconception ou d’économie circulaire.
  • Intégrer la RSE dans les décisions de conception.
  • Proposer des solutions techniques frugales, sobres ou réparables.
  • Participer à des projets de territoire ou à des hackathons solidaires
  • Réaliser les dossiers de définition et les nomenclatures.
  • Choisir les procédés adaptés.
  • Mettre en place des bancs de test automatisés ou semi-automatisés.
  • Réaliser des plans de validation
  • Suivre la qualité produit (AMDEC, SPC, 8D, audits…).
  • Collaborer avec les sous-traitants et préparer la mise sur le marché (DOA/POA).

Compétences attestées :

Pour mener à bien ses missions et activités, le/la titulaire de la certification peut attester de la maîtrise des compétences suivantes :

  • Identifier les phénomènes physiques (mécaniques, thermiques, électriques, etc.) impliqués dans un système complexe.
  • Traduire un problème physique en modèle mathématique ou numérique.
  • Choisir et appliquer les méthodes de résolution adaptées (analytique, numérique, ou expérimentale).
  • Mettre en œuvre des outils de simulation (type Ansys, Matlab…) pour représenter le comportement du système.
  • Interpréter les résultats issus de la modélisation ou de la simulation multiphysique.
  • Présenter et justifier les résultats à des interlocuteurs techniques ou non techniques.
  • Analyser un besoin ou un cahier des charges spécifique au domaine aéronautique ou spatial.
  • Élaborer une architecture de système conforme aux contraintes de masse, fiabilité, réglementation.
  • Choisir les matériaux ou technologies adaptés à la fonction et aux contraintes opérationnelles.
  • Proposer une solution innovante intégrant durabilité ou service associé.
  • Réaliser une étude de faisabilité technique (coût, performance, certification).
  • Communiquer le résultat de conception à des parties prenantes techniques ou non techniques.
  • Modéliser le comportement dynamique de systèmes physiques linéaires et non-linéaires.
  • Concevoir des lois de commande (PID, commande optimale, prédictive, robuste...) adaptées à un cahier des charges
  • Déployer des algorithmes de commande sur systèmes temps réel (microcontrôleurs, FPGA, DSP...).
  • Utiliser des outils de simulation et de validation (Simulink).
  • Prendre en compte la sûreté de fonctionnement dans la conception des architectures de commande.
  • Documenter le logiciel pour validation, maintenance ou certification.
  • Planifier un projet technique avec méthodes adaptées (budget, délais, qualité).
  • Utiliser des outils de suivi projet (Gantt, Kanban, Jira…) en adoptant la méthodologie la plus adaptée au contexte du projet
  • Animer une équipe internationale pluridisciplinaire
  • Adapter le management à des profils et contextes culturels variés
  • Communiquer (reporting, présentation, mails …) efficacement en anglais technique ou multilingue.
  • Gérer les risques culturels dans des projets à l’international
  • Réaliser une veille technologique et sociétale pertinente.
  • Identifier les impacts des transformations de son secteur ou entreprise
  • Proposer des solutions techniques durables (éco-conception, économie circulaire)
  • Mobiliser sa créativité dans des contextes technique.
  • Adopter un comportement professionnel responsable et éthique.
  • Intégrer des objectifs RSE ou développement durable dans un projet technique.
  • Identifier et analyser les contraintes de production et OTD (on-time delivery).
  • Appliquer des méthodes Lean et approche Industrie 4.0
  • Anticiper le maintien en condition opérationnelle (MCO), disponibilité et maintenance.
  • Mettre en œuvre la documentation qualité, traçabilité, normes et régulations
  • Proposer des améliorations procédurales ou écologiques pour l’industrialisation.

 

Modalités d'évaluation :

Les modalités d'évaluation dépendent de l'environnement d'apprentissage.


Pendant les périodes académiques, l'évaluation s'appuie sur un contrôle continu alimenté par l'examen de différentes activités, parmi lesquelles :
 

  • Devoirs surveillés individuels qui visent à estimer le niveau de connaissances théoriques
  • Travaux pratiques qui visent à estimer les savoir-faire expérimentaux
  • Bureaux d’études permettant d’évaluer les savoirs théoriques dans une simulation de situation professionnelle
  • Les projets donnent lieu à la réalisation d’un dossier et selon son importance à une soutenance devant un jury d’enseignants
  • Jeux d’entreprise permettant l'évaluation des capacités et des compétences acquises par mise en situations authentiques

Pendant les périodes en entreprise et à l'étranger, les compétences mises en œuvre et la progression sont directement évaluées par :

  •  Auto-évaluation des compétences avant/après la période par l'apprenant
  • Évaluation externe par les tuteurs d’entreprise
  • Restitutions (rapport et soutenance) par les tuteurs académiques


Le niveau de maîtrise de chaque compétence est positionné selon 4 niveaux de maîtrise :

  1. Compétence à acquérir : compétence non mise en œuvre (débutant par exemple) ou de manière incomplète ;
  2. Compétence à développer : correspond à une compétence dont la maîtrise est encore fragile, par exemple encore peu mobilisée, et qui doit encore être étayée ;
  3. Maîtrise : correspond à une compétence qui est globalement maîtrisée, et qui peut être mobilisée de manière efficace et régulière dans les situations qui la nécessitent, avec une réelle autonomie ;
  4. Expertise : correspond à une compétence qui est optimisée dans les situations qui la mobilisent. La personne qui la détient est source d’innovation, peut faire évoluer son champ d’application et est référente en la matière.


Pour les personnes en situation de handicap, le suivi de la certification peut être aménagé par le biais d'un contrat d'adaptation rédigé en concertation avec le candidat, le référent handicap de l'établissement, le responsable pédagogique et au besoin un médecin conseil. Le cas échéant, ces aménagements peuvent
porter sur les modalités pédagogiques (aménagement de supports) et/ou d'évaluation (tiers-temps ou équivalent, matériel autorisé, etc).


Dans le cas de la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE), la certification est accessible via un processus d'évaluation différent. Le candidat doit rédiger et soumettre un dossier permettant de justifier l'acquisition des blocs de compétences au regard des activités professionnelles précédemment exercées, et peut être assisté par un intervenant expert de la certification.

RNCP41209BC01 - Mobiliser des savoirs scientifiques et techniques pour résoudre des problèmes multiphysiques complexes

Liste de compétences Modalités d'évaluation
  • Identifier les phénomènes physiques (mécaniques, thermiques, électriques, etc.) impliqués dans un système complexe.
  • Traduire un problème physique en modèle mathématique ou numérique.
  • Choisir et appliquer les méthodes de résolution adaptées (analytique, numérique, ou expérimentale).
  • Mettre en œuvre des outils de simulation (type Ansys, Matlab…) pour représenter le comportement du système.
  • Interpréter les résultats issus de la modélisation ou de la simulation multiphysique.
  • Présenter et justifier les résultats à des interlocuteurs techniques ou non techniques.

     

Les modalités d'évaluation dépendent de l'environnement d'apprentissage.


Pendant les périodes académiques, l'évaluation s'appuie sur un contrôle continu alimenté par l'examen de différentes activités, parmi lesquelles :
 

  • Devoirs surveillés individuels qui visent à estimer le niveau de connaissances théoriques
  • Travaux pratiques qui visent à estimer les savoir-faire expérimentaux
  • Bureaux d’études permettant d’évaluer les savoirs théoriques dans une simulation de situation professionnelle
  • Dossiers ou projets donnant lieu selon son importance à une soutenance devant un jury d’enseignants
  • Jeux d’entreprise permettant l'évaluation des capacités et des compétences acquises par mise en situations authentiques

Pendant les périodes en entreprise et  à l'étranger, les compétences mises en œuvre et la progression sont directement évaluées par :

  •  Auto-évaluation des compétences avant/après la période par l'apprenant
  • Évaluation externe par les tuteurs d’entreprise
  • Restitutions (rapport et soutenance) par les tuteurs académiques

RNCP41209BC02 - Concevoir des drones, des systèmes aéronautiques et spatiaux conformes aux attentes et normes du secteur

Liste de compétences Modalités d'évaluation
  • Analyser un besoin ou un cahier des charges spécifique au domaine aéronautique ou spatial.

  • Élaborer une architecture de système conforme aux contraintes de masse, fiabilité, réglementation.

  • Choisir les matériaux ou technologies adaptés à la fonction et aux contraintes opérationnelles.

  • Proposer une solution innovante intégrant durabilité ou service associé.

  • Réaliser une étude de faisabilité technique (coût, performance, certification).

  • Communiquer le résultat de conception à des parties prenantes techniques ou non techniques.

Les modalités d'évaluation dépendent de l'environnement d'apprentissage.


Pendant les périodes académiques, l'évaluation s'appuie sur un contrôle continu alimenté par l'examen de différentes activités, parmi lesquelles :
 

  • Devoirs surveillés individuels qui visent à estimer le niveau de connaissances théoriques
  • Travaux pratiques qui visent à estimer les savoir-faire expérimentaux
  • Bureaux d’études permettant d’évaluer les savoirs théoriques dans une simulation de situation professionnelle
  • Dossiers ou projets donnant lieu selon son importance à une soutenance devant un jury d’enseignants
  • Jeux d’entreprise permettant l'évaluation des capacités et des compétences acquises par mise en situations authentiques

Pendant les périodes en entreprise et à l'étranger, les compétences mises en oeuvre et la progression sont directement évaluées par :

  •  Auto-évaluation des compétences avant/après la période par l'apprenant
  • Évaluation externe par les tuteurs d’entreprise
  • Restitutions (rapport et soutenance) par les tuteurs académiques

 

RNCP41209BC03 - Concevoir une ingénierie logicielle intégrant l’automatique et la commande pour systèmes embarqués aéronautiques, spatiaux et autonomes

Liste de compétences Modalités d'évaluation
  • Modéliser le comportement dynamique de systèmes physiques linéaires et non-linéaires.
  • Concevoir des lois de commande (PID, commande optimale, prédictive, robuste...) adaptées à un cahier des charges
  • Déployer des algorithmes de commande sur systèmes temps réel (microcontrôleurs, FPGA, DSP...).
  • Utiliser des outils de simulation et de validation (Simulink).
  • Prendre en compte la sûreté de fonctionnement dans la conception des architectures de commande.
  • Documenter le logiciel pour validation, maintenance ou certification.

Les modalités d'évaluation dépendent de l'environnement d'apprentissage.


Pendant les périodes académiques, l'évaluation s'appuie sur un contrôle continu alimenté par l'examen de différentes activités, parmi lesquelles :
 

  • Devoirs surveillés individuels qui visent à estimer le niveau de connaissances théoriques
  • Travaux pratiques qui visent à estimer les savoir-faire expérimentaux
  • Bureaux d’études permettant d’évaluer les savoirs théoriques dans une simulation de situation professionnelle
  • Dossiers ou projets donnant lieu selon son importance à une soutenance devant un jury d’enseignants
  • Jeux d’entreprise permettant l'évaluation des capacités et des compétences acquises par mise en situations authentiques

Pendant les périodes en entreprise et à l'étranger, les compétences mises en oeuvre et la progression sont directement évaluées par :

  •  Auto-évaluation des compétences avant/après la période par l'apprenant
  • Évaluation externe par les tuteurs d’entreprise
  • Restitutions (rapport et soutenance) par les tuteurs académiques

Pendant les périodes à l'étranger, les compétences mises en oeuvre et la progression sont directement évaluées par :

  • Auto-évaluation des compétences avant/après la période par l'apprenant
  • Évaluation externe par les tuteurs d’entreprise
  • Restitutions (rapport et soutenance) par les tuteurs académiques

RNCP41209BC04 - Manager un projet dans un contexte multidisciplinaire et international

Liste de compétences Modalités d'évaluation
  • Planifier un projet technique avec méthodes adaptées (budget, délais, qualité).
  • Utiliser des outils de suivi projet (Gantt, Kanban, Jira…) en adoptant la méthodologie la plus adaptée au contexte du projet
  • Animer une équipe internationale pluridisciplinaire
  • Adapter le management à des profils et contextes culturels variés
  • Communiquer (reporting, présentation, mails …) efficacement en anglais technique ou multilingue.
  • Gérer les risques culturels dans des projets à l’international.

Les modalités d'évaluation dépendent de l'environnement d'apprentissage.


Pendant les périodes académiques, l'évaluation s'appuie sur un contrôle continu alimenté par l'examen de différentes activités, parmi lesquelles :
 

  • Devoirs surveillés individuels qui visent à estimer le niveau de connaissances théoriques
  • Travaux pratiques qui visent à estimer les savoir-faire expérimentaux
  • Bureaux d’études permettant d’évaluer les savoirs théoriques dans une simulation de situation professionnelle
  • Dossiers ou projets donnant lieu selon son importance à une soutenance devant un jury d’enseignants
  • Jeux d’entreprise permettant l'évaluation des capacités et des compétences acquises par mise en situations authentiques

Pendant les périodes en entreprise et à l'étranger, les compétences mises en oeuvre et la progression sont directement évaluées par :

  •  Auto-évaluation des compétences avant/après la période par l'apprenant
  • Évaluation externe par les tuteurs d’entreprise
  • Restitutions (rapport et soutenance) par les tuteurs académiques

RNCP41209BC05 - Innover durablement et de manière responsable dans un contexte évolutif

Liste de compétences Modalités d'évaluation
  • Réaliser une veille technologique et sociétale pertinente.
  • Identifier les impacts des transformations de son secteur ou entreprise
  • Proposer des solutions techniques durables (éco-conception, économie circulaire)
  • Mobiliser sa créativité dans des contextes technique.
  • Adopter un comportement professionnel responsable et éthique.
  • Intégrer des objectifs RSE ou développement durable dans un projet technique..
  •  

Les modalités d'évaluation dépendent de l'environnement d'apprentissage.


Pendant les périodes académiques, l'évaluation s'appuie sur un contrôle continu alimenté par l'examen de différentes activités, parmi lesquelles :
 

  • Devoirs surveillés individuels qui visent à estimer le niveau de connaissances théoriques
  • Travaux pratiques qui visent à estimer les savoir-faire expérimentaux
  • Bureaux d’études permettant d’évaluer les savoirs théoriques dans une simulation de situation professionnelle
  • Dossiers ou projets donnant lieu selon son importance à une soutenance devant un jury d’enseignants
  • Jeux d’entreprise permettant l'évaluation des capacités et des compétences acquises par mise en situations authentiques

Pendant les périodes en entreprise et  à l'étranger, les compétences mises en oeuvre et la progression sont directement évaluées par :

  •  Auto-évaluation des compétences avant/après la période par l'apprenant
  • Évaluation externe par les tuteurs d’entreprise
  • Restitutions (rapport et soutenance) par les tuteurs académiques

RNCP41209BC06 - Industrialiser des systèmes mécatroniques ou embarqués dans un contexte aéronautique/spatial

Liste de compétences Modalités d'évaluation
  • Identifier et analyser les contraintes de production et OTD (on-time delivery).
  • Appliquer des méthodes Lean et approche Industrie 4.0
  • Anticiper le maintien en condition opérationnelle (MCO), disponibilité et maintenance.
  • Mettre en œuvre la documentation qualité, traçabilité, normes et régulations
  • Proposer des améliorations procédurales ou écologiques pour l’industrialisation.

Les modalités d'évaluation dépendent de l'environnement d'apprentissage.


Pendant les périodes académiques, l'évaluation s'appuie sur un contrôle continu alimenté par l'examen de différentes activités, parmi lesquelles :
 

  • Devoirs surveillés individuels qui visent à estimer le niveau de connaissances théoriques
  • Travaux pratiques qui visent à estimer les savoir-faire expérimentaux
  • Bureaux d’études permettant d’évaluer les savoirs théoriques dans une simulation de situation professionnelle
  • Dossiers ou projets donnant lieu selon son importance à une soutenance devant un jury d’enseignants
  • Jeux d’entreprise permettant l'évaluation des capacités et des compétences acquises par mise en situations authentiques

Pendant les périodes en entreprise et à l'étranger, les compétences mises en oeuvre et la progression sont directement évaluées par :

  •  Auto-évaluation des compétences avant/après la période par l'apprenant
  • Évaluation externe par les tuteurs d’entreprise
  • Restitutions (rapport et soutenance) par les tuteurs académiques

Description des modalités d'acquisition de la certification par capitalisation des blocs de compétences et/ou par correspondance :

L'obtention de la certification est conditionnée par la validation de l'ensemble des blocs de compétences.

 

 

Secteurs d’activités :

Les certifiés exercent leur activité principalement dans les entreprises issues des secteurs de l’aéronautique, du spatial et de la défense, mais aussi dans les secteurs de l'automobile, du ferroviaire, du naval, de la génération et de la distribution d'énergie, des services d'ingénierie et d’études techniques, des cabinets de conseils, de l'informatique et des services.

Type d'emplois accessibles :

Le certifié peut prétendre à une diversité de rôle dans la chaîne de valeur du cycle en V des industries concernées, soit de manière non exhaustive aux emplois de :

  • ingénieur bureau d’études,
  • ingénieur procédés, maintenance, qualité,
  • ingénieur système embarqué,
  • ingénieur sûreté de fonctionnement,
  • ingénieur d’essais et validation,
  • chef de projet technique,
  • ingénieur R&D en propulsion, structure ou électronique,
  • ingénieur d'Affaires.

Code(s) ROME :

  • H1206 - Management et ingénierie études, recherche et développement industriel
  • H1402 - Management et ingénierie méthodes et industrialisation
  • H2502 - Management et ingénierie de production
  • H1210 - Intervention technique en études, recherche et développement
  • H1102 - Management et ingénierie d''affaires

Références juridiques des règlementations d’activité :

Le cas échant, prérequis à l’entrée en formation :

(Année d’entrée - Pré-requis)
ELISA1 - Baccalauréats généraux (2 enseignements scientifiques de spécialité), baccalauréats technologiques STI2D
ELISA2 - BTS*, Licence* (1 ou 2) et CPGE 1 (crédits validés)
ELISA3 - CPGE 2, BUT, Licence et ATS
ELISA4 - - Master 1 ou 2

Le cas échant, prérequis à la validation de la certification :

Outre la validation des compétences détaillées ci-dessus, pour viser le titre d'ingénieur le candidat hors VAE doit valider les critères suivants :

  • La réalisation de 28 semaines cumulées de périodes en entreprise.
  • La validation d'un niveau minimal B2 du CECRL en anglais, niveau attesté par des résultats obtenus à une certification de langue par un organisme accrédité.
  • La validation d'un niveau minimal B2 du CECRL en FLE (candidats internationaux) ou orthographe professionnelle en français (candidats français), niveau attesté par un organisme accrédité.
  • La réalisation d'une mobilité internationale obligatoire de 16 semaines.


Les candidats à la VAE doivent attester d'un niveau minimal B2 en langue anglaise et du niveau minimal "professionnel" de la certification Voltaire.

 

Pré-requis disctincts pour les blocs de compétences :

Non

Validité des composantes acquises
Voie d’accès à la certification Oui Non Composition des jurys Date de dernière modification
Après un parcours de formation sous statut d’élève ou d’étudiant X

La composition nominale (et pouvant être étendue) du jury de diplôme est la suivante :

  • Président : Un professeur des Universités
  • Rapporteur : Le Directeur des Formations
  • Un représentant extérieur (industrie, recherche, défense…)
  • Le Directeur de la recherche
  • Les Directeurs des Etudes de chaque campus
-
En contrat d’apprentissage X - -
Après un parcours de formation continue X - -
En contrat de professionnalisation X - -
Par candidature individuelle X - -
Par expérience X

Les membres du jury de VAE sont :

  • La Directrice Générale
  • Le Directeur des Formations
  • 1 enseignant chercheur
  • 2 représentants du secteur industriel
  • 1 représentant externe de l’enseignement supérieur

Les membres du jury de VAE adhèrent de facto à la charte déontologique des membres de jury de VAE publiée en 2009 par le Comité interministériel pour le développement de la VAE.

-
Validité des composantes acquises
Oui Non
Inscrite au cadre de la Nouvelle Calédonie X
Inscrite au cadre de la Polynésie française X

Statistiques :

Statistiques
Année d'obtention de la certification Nombre de certifiés Nombre de certifiés à la suite d’un parcours vae Taux d'insertion global à 6 mois (en %) Taux d'insertion dans le métier visé à 6 mois (en %) Taux d'insertion dans le métier visé à 2 ans (en %)
2024 74 0 98 98 -
2023 98 0 95 95 -

Lien internet vers le descriptif de la certification :

https://www.elisa-aerospace.fr/cycle-ingenieur/

Le certificateur n'habilite aucun organisme préparant à la certification

Historique des changements de certificateurs :

Historique des changements de certificateurs
Nom légal du certificateur Siret du certificateur Action Date de la modification
MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE 11004401300040 Est ajouté 29-07-2025

Certification(s) antérieure(s) :

Certification(s) antérieure(s)
Code de la fiche Intitulé de la certification remplacée
RNCP22684 Titre ingénieur - Ingénieur diplômé de l’École d’ingénieurs des sciences aérospatiales

Référentiel d'activité, de compétences et d'évaluation :