L'essentiel

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Nomenclature
du niveau de qualification

Niveau 7

Icon NSF

Code(s) NSF

252 : Moteurs et mécanique auto

200 : Technologies industrielles fondamentales

115f : Physique appliquée aux processus industriels ; Physique des matériaux ; Mesures physiques appliquées au contrôle industriel ; Sciences physiques pour l'ingénieur

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Formacode(s)

24070 : Moteur électrique

23689 : Moteur essence

23677 : Moteur

Icon date

Date d’échance
de l’enregistrement

31-08-2024

Niveau 7

252 : Moteurs et mécanique auto

200 : Technologies industrielles fondamentales

115f : Physique appliquée aux processus industriels ; Physique des matériaux ; Mesures physiques appliquées au contrôle industriel ; Sciences physiques pour l'ingénieur

24070 : Moteur électrique

23689 : Moteur essence

23677 : Moteur

31-08-2024

Nom légal Siret Nom commercial Site internet
ECOLE NATIONALE SUPERIEURE PETROLE MOTEURS 77572915500124 IFP School https://www.ifp-school.com/

Objectifs et contexte de la certification :

 Les ingénieurs en Ingénierie des chaînes de traction sont des acteurs de la mobilité durable avec une vision système de l’ingénierie de la chaîne de traction automobile globale. Ils conçoivent et mettent en œuvre des systèmes propulsifs permettant d’aller vers une mobilité propre, neutre en carbone et soutenable en terme d’utilisation des ressources. Cela passe en particulier par une optimisation de l’utilisation de l’énergie embarquée. Ils couvrent l'ensemble des opérations de développement des systèmes de chaînes de traction, (thermiques, hybrides, électriques) et leur adaptation aux véhicules routiers dans le monde et notamment dans les pays où la mobilité est en forte croissance  (Brésil, Chine, Inde,…) en les abordant aussi bien sous les aspects techniques, économiques, multiculturels et environnementaux.

Le périmètre couvert est celui du véhicule particulier et les applications urbaines et péri-urbaines des véhicules routiers de transports publics ou de livraison. A ce titre il inclut aussi le véhicule connecté et autonome.

Cette certification est orientée : Recherche et Innovation (R&I), conception du système de chaîne de traction d’un véhicule, intégration véhicule, adaptation en fonction des contraintes du pays cible, essais de motorisations , dépollution, modélisation.  Elle inclut ainsi les étapes nécessaires entre la conception et le développement menant à l’industrialisation du concept. La formation exclut les aspects fabrication et production.

La certification ouvre des perspectives de carrière intéressantes dans un secteur industriel en pleine évolution et renouveau en France et à l’international. Ce renouveau résulte notamment de la croissance de la demande en mobilité dans les pays cibles, de la mondialisation des marchés, de l’urgence des préoccupations environnementales ainsi que des incontournables défis liés à la transition énergétique et au réchauffement climatique.

Ce programme de formation, enseigné en anglais, fait de l’ingénieur formé un acteur incontournable de la mobilité de demain (absence d‘émissions de polluants, optimisation de la consommation énergétique, neutralité carbone). Son caractère international et sa dimension fortement multiculturelle permet à l’ingénieur de piloter son activité dans un contexte de globalisation.  

Activités visées :

L’ingénieur de spécialisation, diplômé de l’IFP School en ingénierie de chaîne de traction a vocation à travailler à la conception, au développement et à la mise au point des technologies de chaines de traction automobile au sens large.

De façon non exhaustive, cela couvre les activités suivantes:

  • bureau d’études (calculs et dimensionnement),
  • modélisation des différentes fonctions et composants jusqu’au système complet de la chaîne de traction,
  • essais de caractérisation et de mise au point des fonctions et composants et du système complet,
  • étude de l’intégration de la chaîne de traction au sein d’un véhicule,
  • calibration et mise au point de la chaîne de traction sur véhicule en terme de gestion optimale de l’énergie embarquée et de respect des législations CO2 et émissions de polluants
  • gestion des interactions avec les aides à la conduite du véhicule dans le cas d’un véhicule connecté et autonome.


Compétences attestées :

A l’issue de son cursus, le diplômé aura le savoir-faire et les compétences suivantes 

a. Maîtriser les concepts, les modèles et les techniques en lien avec les technologies de chaîne de traction appliquées aux véhicules à propulsion thermique, hybride ou électrique ainsi aux véhicules connectés et autonomes.

b. Réaliser des analyses fonctionnelles de l’architecture et des différents composants de la chaîne de traction en intégrant le moteur et ses composants, la transmission, les machines électriques, l’électronique de puissance, et les batteries. 

c. Concevoir un système complexe de chaîne de traction. 

d. Utiliser des dispositifs de modélisation des composants, des fonctions et du système complet. 

e. Mettre au point une chaîne de traction sur banc d’essais et sur véhicule.

f. Prendre en compte des éléments de cahier des charges (de performance, de consommation d’énergie, de réglementation, d’environnement, et d’émissions de polluants) .

g. Intégrer un système (une chaîne de traction) dans un ensemble complexe de systèmes  (un véhicule), en tenant compte des contraintes.

h. Concevoir et déployer un système de contrôle pour une gestion optimale de l’énergie embarquée.

i. Analyser l’interaction entre le système de chaîne de traction et le niveau de connectivité et d’autonomie d’un véhicule électrique.

j. Déployer une approche système, c’est à dire prendre en compte de façon holistique les multiples et complexes interactions entre les différents composants et fonctions d’une chaîne de traction intégrée dans un véhicule.

k. Intégrer un groupe projet et évoluer dans un environnement professionnel international et multiculturel en maîtrisant la communication en anglais et en prenant en compte les aspects multiculturels.

 l. Gérer un projet en intégrant les objectifs, contraintes et ressources. 

 m. Mettre en place et à faire fonctionner une organisation.

 n. Apporter des solutions innovantes en faisant preuve d’ouverture et d’esprit de synthèse.  

Modalités d'évaluation :

  1. Les compétences, requises pour la certification, sont évaluées selon les modalités suivantes :

 · A l’école au travers de mises en situations professionnelles, d’études de cas, d’un projet de partage d’expérience (savoir être, connaissance de l’entreprise), d’examens écrits validant les connaissances théoriques et d’un projet final portant sur l’ensemble des compétences.

 · Par une période immersive en entreprise évaluée, par le tuteur entreprise et par un jury école suivant les dispositifs explicités ci-après.

Modalités d’évaluation des compétences à l’école:

Dans les « mises en situations professionnelles réelles » les sujets, les moyens, les rendus sont strictement identiques à ce est fait en entreprise, dans les études de cas (ou mise en situation professionnelle reconstituée) les données et attentes sont adaptées en fonction d’objectifs pédagogiques.

Dans les 2 cas, les élèves travaillent en groupe à partir d’un cahier des charges, mettent en œuvre les ressources adéquates (modélisation, test,…). La validation de ces mises en situation professionnelle, est faite par un jury d’experts au travers de l’examen du dossier remis et/ou d’une présentation orale.

Modalités d’évaluation du projet final :

L’ensemble des compétences est évalué au travers d’un projet final, réalisé en groupe, portant sur la réalisation d’un système de chaîne de traction hybride ou électrique innovant, et partant d’un cahier des charges donné par un industriel du secteur. Un jury d’industriels évalue le rapport technique et la présentation orale du projet. Le jury évalue aussi la capacité des candidats à communiquer en anglais ainsi que leur capacité de travail en équipe multiculturelle.

Tout au long de leurs périodes en entreprise, les élèves travaillent également, en groupe et à distance, sur un « Projet de partage d’expérience », donné par l’école, qui traite d’ une problématique non technique de l’entreprise. Ce projet est évalué, en fin de cursus, au travers d’un rapport final et d’une présentation devant un jury. 

  

Modalités d’évaluation des périodes en entreprise:

Les apprenants acquièrent des compétences en fonction de leur mission en entreprise. Cette période est évaluée de différentes manières :

 · Par le tuteur de l’apprenant en entreprise en liaison avec l'enseignant de l'école, référent pédagogique de l'apprenant. Cette évaluation, qui porte sur le développement de compétences techniques et de compétences de savoir-être professionnel, est consignée dans le livret de suivi dématérialisé de l’apprenti. Ce tuteur dispose, pour identifier les compétences à acquérir par l'apprenant, d'un référentiel de compétences déclinées en parcours métiers type.

· Par la rédaction et la soutenance devant un jury d’un rapport final de cette période en entreprise.

Par ailleurs, durant chaque période en entreprise, l’apprenant rédige, au travers d'une réflexion personnelle, un bilan intermédiaire ou un bilan de synthèse faisant le point des compétences développées, des problématiques soulevées.  
     

RNCP34610BC01 - Concevoir le système de chaîne de traction innovant en vue de sa production automobile en grande série en fonction des pays cibles.

Liste de compétences Modalités d'évaluation

 a. Maîtriser les concepts, les modèles et les techniques en lien avec les technologies de chaîne de traction appliquées aux véhicules à propulsion thermique, hybride ou électrique ainsi aux véhicules connectés et autonomes.

b. Réaliser des analyses fonctionnelles de l’architecture et des différents composants de la chaîne de traction en intégrant le moteur et ses composants, la transmission, les machines électriques, l’électronique de puissance, et les batteries.

c. Concevoir un système complexe de chaîne de traction.

d. Utiliser des dispositifs de modélisation des composants, des fonctions et du système complet. 

 e. Mettre au point une chaîne de traction sur banc d’essais et sur véhicule.

f. Prendre en compte des éléments de cahier des charges (de performance, de consommation d’énergie, de réglementation, d’environnement, et d’émissions de polluants) . 

g. Intégrer un système (une chaîne de traction) dans un ensemble complexe de systèmes  (un véhicule) , en tenant compte des contraintes. 

k. Intégrer un groupe projet et évoluer dans un environnement professionnel international et multiculturel.

l. Gérer un projet en intégrant les objectifs, contraintes et ressources .

m. Mettre en place et à faire fonctionner une organisation.  

  Mises en situation professionnelle :

 · Analyse et réponse à un cahier des charges, présentation devant un jury expert. 

 · Soumission d’un dossier professionnel sur la validation par le biais de la modélisation de l’architecture demandée par un expert.

 · Présentation du projet d’adaptation moteur/véhicule et présentation devant des experts industriels.

 · Conception d’un modèle numérique au travers de simulation donnant lieu à un rapport.

· Réalisation de tests sur banc d’essais et présentation orale devant des experts.  

Périodes en entreprise évaluées

Examens écrits validant les connaissances théoriques

RNCP34610BC02 - Tester, optimiser et déployer le projet de chaîne de traction pour une intégration véhicule

Liste de compétences Modalités d'évaluation

b. Réaliser des analyses fonctionnelles de l’architecture et des différents composants de la chaîne de traction.

d. Utiliser des dispositifs de modélisation des composants, des fonctions et du système complet.   

h. Concevoir et déployer un système de contrôle pour une gestion optimale de l’énergie embarquée.

j. Déployer une approche système, c’est à dire prendre en compte de façon holistique les multiples et complexes interactions entre les différents composants et fonctions d’une chaîne de traction intégrée dans un véhicule.

k. Intégrer un groupe projet et évoluer dans un environnement professionnel international et multiculturel en maîtrisant la communication en anglais et en prenant en compte les aspects multiculturels.

l. Gérer un projet en intégrant les objectifs, contraintes et ressources.    

  Mises en situation professionnelle :

 · Projet d’intégration véhicule réalisé en groupe dans le cadre du projet final 

· Conception d’un modèle simulant un système de calibration et contrôle moteur comprenant la gestion de l’énergie embarquée. Présentation du dossier comportant le modèle et les tests de validation. Soutenance devant des experts.

Périodes en entreprise évaluées.

Examens écrits validant les connaissances théoriques.  

RNCP34610BC03 - Contribuer au développement d’un véhicule connecté et autonome en relation avec la chaîne de traction

Liste de compétences Modalités d'évaluation

 a . Maîtriser les concepts, les modèles et les techniques en lien avec les technologies de chaîne de traction appliquées aux véhicules à propulsion thermique, hybride ou électrique ainsi aux véhicules connectés et autonomes.

c. Concevoir un système complexe de chaîne de traction.

d. Utiliser des dispositifs de modélisation des composants, des fonctions et du système complet (modèle d’Intelligence Artificielle type réseaux de neurones profonds ).

f . Prendre en compte des éléments de cahier des charges (de performance, de consommation d’énergie, de réglementation, d’environnement, et d’émissions de polluants) .   

g. Intégrer un système (une chaîne de traction) dans un ensemble complexe de systèmes  (un véhicule) , en tenant compte des contraintes.    

h. Concevoir et déployer un système de contrôle pour une gestion optimale de l’énergie embarquée.

i. Analyser l’interaction entre le système de chaîne de traction et le niveau de connectivité et d’autonomie d’un véhicule électrique.

j. Déployer une approche système, c’est à dire prendre en compte de façon holistique les multiples et complexes interactions entre les différents composants et fonctions d’une chaîne de traction intégrée dans un véhicule.

n. Apporter des solutions innovantes en faisant preuve d’ouverture et d’esprit de synthèse.    

  Mises en situation professionnelle :

 · Analyse et réponse à un cahier des charges proposé par des industriels, présentation devant un jury expert. · Soumission d’un dossier professionnel sur la validation du modèle d’Intelligence artificielle développé en respectant les contraintes exigées dans le cahier des charges.

· Soumission d’un dossier professionnel montrant la prise en compte des exigences sécurité dans le modèle livré en respectant les contraintes exigées par le cahier des charges.

· Présentation du projet de véhicule connecté autonome devant un jury d’industriels. 

Périodes en entreprise évaluée.

Examens écrits validant les connaissances théoriques.


Description des modalités d'acquisition de la certification par capitalisation des blocs de compétences et/ou par correspondance :

Le parcours de formation est organisé en Unités d’Enseignement (UE) qui recouvrent l’ensemble des blocs de compétences.

Validation de l’ensemble du titre

A l'issue de la scolarité, le jury d'attribution du diplôme, attribue le diplôme spécialisé en Ingénierie des chaînes de traction de l'École Nationale Supérieure du Pétrole et des Moteurs, aux candidats pour lesquels ont été validés :

· L’ensemble des blocs de compétences au travers de la validation de toutes les unités d'enseignement. Si l'une des unités d'enseignement (voire deux dans des cas exceptionnels) n'a pas été validée, le jury peut décider de l'attribution du diplôme en prenant en compte l'ensemble des résultats de l'étudiant, sa progression, son comportement et son implication dans l'année,

 · La période en entreprise, 

· un niveau minimal d'anglais (TOEIC de 785 ou équivalent) pour les ressortissants de la communauté européenne

 · Un niveau minimal de communication orale de "C", suivant le barème défini dans le règlement intérieur.  

Secteurs d’activités :

L’ingénieur(e) peut exercer son activité chez des constructeurs automobiles, des équipementiers, des sociétés d'ingénierie, des laboratoires R&I. 


Sur les 3 dernières promotions (2016-2018) soit un échantillon de 89 étudiants, la répartition par secteurs des diplômés est la suivante : 

· Constructeurs automobile (France et monde) : 43% 

· Équipementiers  (France et Monde) : 20% 

· Société d'ingénierie et de R&D (France et monde) : 24% 

· Autre secteur (Production d’énergie, Université « pour doctorat », IT, pétrolier) : 13%.  

Type d'emplois accessibles :

Cette certification mène à une large gamme de métiers à l’international, le plus souvent dans une direction technique : conception du système de chaîne de traction d’un véhicule, recherche et innovation (R&I), intégration véhicule, adaptation en fonction des contraintes du pays cible, essais moteurs (thermique et électrique), tests dépollution, modélisation.

Ingénieur(e) conception; 

Ingénieur (e) Justification Architecture moteur;  

Ingénieur (e) développement projet chaîne de traction; 

Ingénieur (e) Intégration véhicule; 

Ingénieur(e) mise au point et calibration; 

Ingénieur(e) essai moteur; 

Ingénieur(e) contrôle commande chaîne de traction; 

Ingénieur(e) modélisation.   

Code(s) ROME :

  • H1402 - Management et ingénierie méthodes et industrialisation
  • H1206 - Management et ingénierie études, recherche et développement industriel
  • H2502 - Management et ingénierie de production

Références juridiques des règlementations d’activité :


Le cas échant, prérequis à l’entrée en formation :

  Avant l'entrée en formation

   Peuvent solliciter leur admission à l’école pour l’obtention du diplôme d’ingénieur spécialisé :

 - les candidats titulaires d’un diplôme d’ingénieur reconnu par la commission des titres d’ingénieur, ou d’un diplôme équivalent délivré par une université ou une école étrangère. L’équivalence des diplômes est examinée et validée par un jury de validation spécifique ;

 - les élèves d’écoles d’ingénieur ou d’universités, postulant une année avant l’obtention du diplôme d’ingénieur ou d’un diplôme équivalent et dont la candidature est présentée conformément aux dispositions conventionnelles établies entre l’école ou l’université d’origine et l’Ecole nationale supérieure du pétrole et des moteurs ;

 - les officiers de l’armée de terre, de mer et de l’air de l’Union européenne présentés par leurs services ;

 - les candidats de la promotion supérieure du travail présentés par leur employeur. Ils doivent être titulaires d’un diplôme de niveau bac+2 minimum, justifier d’au moins trois ans d’expérience professionnelle et exercer des responsabilités d’un niveau au moins équivalent à celui d’un ingénieur débutant.  


Avant la certification finale

A l'issue de la scolarité, le jury d'attribution du diplôme, attribue le diplôme spécialisé en Ingénierie des chaînes de traction de l'École Nationale Supérieure du Pétrole et des Moteurs, aux candidats pour lesquels ont été validés :

· L’ensemble des blocs de compétences au travers de la validation de toutes les unités d'enseignement. Si l'une des unités d'enseignement (voire deux dans des cas exceptionnels) n'a pas été validée, le jury peut décider de l'attribution du diplôme en prenant en compte l'ensemble des résultats de l'étudiant, sa progression, son comportement et son implication dans l'année,

  - une expérience professionnelle dans le secteur industriel ;

  - le niveau de communication orale, dont le minimum est une évaluation de niveau "C" ;  le niveau d’anglais, dont le minimum est fixé à B2, selon le CEFR (cadre européen commun de référence pour les langues), équivalent de 785 au TOEIC.  


Prérequis pour une certification VAE Le candidat :

· doit être titulaire du titre d'ingénieur diplômé d'une école reconnue par la CTI (pour candidater au diplôme d’ingénieur spécialisé)

· avoir au moins 1 an d'activité professionnelle en rapport direct avec la certification « Ingénierie de chaînes de traction ».

Le dossier est pré-instruit pour valider ou non sa recevabilité. S’il est jugé recevable, un dossier de validation de compétences est constitué et soumis à un jury.  

Le cas échant, prérequis à la validation de la certification :

Pré-requis disctincts pour les blocs de compétences :

Non

Validité des composantes acquises :

Validité des composantes acquises
Voie d’accès à la certification Oui Non Composition des jurys
Après un parcours de formation sous statut d’élève ou d’étudiant X

Le jury d’attribution des diplômes comprend :  

- le directeur de l’École, président; 

- le directeur du centre dont dépend le programme; 

- le secrétaire général; 

- le directeur des études; 

- le directeur de l’apprentissage; 

- le responsable du programme;  

(ou leurs représentants mandatés).   

En contrat d’apprentissage X

Le jury d’attribution des diplômes comprend :  
- le directeur de l’École, président;
- le directeur du centre dont dépend le programme;
- le secrétaire général;
- le directeur des études;
- le directeur de l’apprentissage;
- le responsable du programme;  
(ou leurs représentants mandatés).   

Après un parcours de formation continue X

 Le jury d’attribution des diplômes comprend :  
- le directeur de l’École, président;
- le directeur du centre dont dépend le programme;
- le secrétaire général;
- le directeur des études;
- le directeur de l’apprentissage;
- le responsable du programme;  
(ou leurs représentants mandatés).     

En contrat de professionnalisation X -
Par candidature individuelle X -
Par expérience X

Le jury est constitué d'au moins 5 personnes et a la composition suivante : 

- directeur du centre concerné,  

- responsable du programme concerné,  

- un enseignant-chercheur de l'École,  

- des professionnels de la branche considérée.

 Un président du jury est choisi parmi ses membres.

 Équité de nombre entre les membres du jury internes à l’école et les professionnels actifs externes à l’école. 

Validité des composantes acquises
Oui Non
Inscrite au cadre de la Nouvelle Calédonie X
Inscrite au cadre de la Polynésie française X

Statistiques :

Statistiques
Année d'obtention de la certification Nombre de certifiés Nombre de certifiés à la suite d’un parcours vae Taux d'insertion global à 6 mois (en %) Taux d'insertion dans le métier visé à 6 mois (en %) Taux d'insertion dans le métier visé à 2 ans (en %)
2019 16 0 100 100 100
2018 19 0 100 100 100
2017 15 0 100 100 100

Le certificateur n'habilite aucun organisme préparant à la certification

Référentiel d'activité, de compétences et d'évaluation :