L'essentiel

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Nomenclature
du niveau de qualification

Niveau 7

Icon NSF

Code(s) NSF

343 : Nettoyage, assainissement, protection de l'environnement

113g : Sciences (biologie-géologie) de l'environnement, des écosystèmes

343u : Surveillance et exploitation d installations de traitement des eaux

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Formacode(s)

12584 : Génie environnement

12522 : Développement durable

12587 : Management environnemental

31407 : Qualité hygiène sécurité environnement

Icon date

Date d’échance
de l’enregistrement

31-08-2024

Niveau 7

343 : Nettoyage, assainissement, protection de l'environnement

113g : Sciences (biologie-géologie) de l'environnement, des écosystèmes

343u : Surveillance et exploitation d installations de traitement des eaux

12584 : Génie environnement

12522 : Développement durable

12587 : Management environnemental

31407 : Qualité hygiène sécurité environnement

31-08-2024

Nom légal Siret Nom commercial Site internet
INSTITUT POLYTECHNIQUE UNILASALLE 78050719000012 UNILASALLE -

Objectifs et contexte de la certification :

UniLaSalle Rennes est une Ecole d'ingénieur dédiée aux métiers de l’environnement. Elle forme et certifie des ingénieurs en Génie de l’environnement qui participent au développement d’activités industrielles, associatives et territoriales avec un souci de moindre impact sur l’environnement. Les règlementations d’origine européenne ou nationale renforcent progressivement les exigences de respect de l’environnement au niveau des entreprises industrielles ou de service, et au niveau des acteurs publics (Etat, collectivités territoriales) : gestion de l’eau, des déchets, qualité de l’air et des sols, changement climatique, économies d’énergie, décarbonation des activités, mise en place d’une économie circulaire et résiliente, développement durable et responsabilité sociétale… De plus, la société civile est en attente d’actions et de résultats concrets : elle questionne la responsabilité sociétale des entreprises et des organisations (RSE/RSO). Il y a un besoin d’ingénieurs capables de participer à la transition écologique et énergétique encouragée au niveau national et international, et nécessaire à la pérennité de l’activité économique. La formation d’Ingénieur en Génie de l’Environnement a vocation à former de futurs professionnels qui permettront aux entreprises et aux collectivités, quel que soit leurs champs d’action, d’atteindre l’éco-efficience.

Le diplôme d’ingénieur « génie de l’environnement » a pour objectif de certifier des professionnels dont les principales activités sont :

  • la gestion des impacts environnementaux liés aux activités humaines par des actions de prévention, réduction, traitement et de compensation,
  • l'amélioration et l'optimisation des performances environnementales des organisations,
  • le développement des responsabilités sociétales des entreprises et des organisations,
  • la protection de l’environnement.

Activités visées :

  • Identification et évaluation des phénomènes liés aux pollutions des milieux et à la dégradation des écosystèmes ;
  • Établissement d'un diagnostic de performances des procédés de dépollution (procédés chimiques, physico-chimiques, microbiologiques ou procédés de phyto-remédiation) ;
  • Conception, dimensionnement et mise en œuvre de solutions techniques de préservation de l'environnement ;
  • Exploitation des unités industrielles dans le domaine du traitement des pollutions ou des déchets ;
  • Évaluation des impacts environnementaux d'une activité, d'un produit, d'un territoire ;
  • Conception, mise en œuvre et évaluation des démarches de management environnemental des entreprises et collectivités, visant la réduction des impacts environnementaux des activités et des produits, pilotage de projet et des démarches de certification, notamment les certifications de la famille ISO 14000 ;
  • Gestion de projet de développement appliqué à l'évolution technique et l'innovation ou à l'entrepreneuriat dans le cadre du développement durable.

 

Compétences attestées :

  1. Mobiliser les ressources d'un large champ scientifique et les outils de base scientifiques associées aux sciences des procédés dans une logique de développement durable et établir une évaluation environnementale. 
  2.  Maîtriser de manière systémique les méthodes, les outils d'analyse, de caractérisation, de conception durable, de test et de validation, d'évaluation environnementale et de systèmes de management et de procédés. 
  3.  Réduire les impacts environnementaux des activités humaines (prévenir, gérer, traiter) à différents niveaux (un produit, un site, un territoire) avec différentes actions (gestion de projet, solutions techniques) en adaptant les procédures, techniques et méthodologies en fonction des besoins. 
  4.  Mener un projet de recherche, fondamentale ou appliquée, en équipe, pour réduire les impacts environnementaux des activités humaines et communiquer avec toutes les parties prenantes. 
  5. Réaliser une veille réglementaire et/ou technique, une recherche bibliographique sur des thématiques environnementales et en rédiger une synthèse. 
  6. Appliquer des critères de durabilité à moyen et long terme dans toute analyse et action, et savoir anticiper les évolutions environnementales, économiques et sociétales, pour que le développement soit réellement durable. 
  7. Prendre en compte les aspects économiques, environnementaux et sociétaux pour répondre aux exigences de la société, contribuer au système qualité de l’entreprise, et diffuser la vision systémique du développement durable aux parties prenantes.
  8. Prendre la responsabilité du pilotage d'un projet en tenant compte d'une part de la gestion des risques, de la sécurité et de la règlementation et, d'autre part, des relations humaines pour la réussite du travail en équipe. 
  9.  Prendre en compte les aspects et enjeux du développement durable,  et de la responsabilité sociétale de l'entreprise dans ses missions en veillant à l'intégration des enjeux économiques, juridiques et sociaux et en s'adaptant au changement technologique et sociétal.
  10.  Observer, écouter, questionner, analyser et s'insérer dans une organisation, tout en évaluant le niveau d'intégration au développement durable dans l'entreprise et en identifiant les enjeux réglementaires, économiques, managériaux et stratégiques liés à la mise en place d'actions de prévention ou de protection de l'environnement visant à réduire les impacts environnementaux. 
  11. Faire preuve d'esprit d'initiative, d'entrepreneuriat-intrapreneuriat, et de persévérance pour porter des projets dans le respect des attentes du développement durable. 
  12.  Faire preuve d'une grande ouverture d'esprit et de curiosité face à de nouvelles problématiques environnementales à l'échelle internationale, en appréhendant les valeurs d’une culture étrangère et en s'adaptant à des pratiques très différentes. Savoir communiquer à l’écrit et à l’oral dans un contexte social et professionnel étranger.
  13.  Exprimer ses attentes professionnelles et personnelles, et savoir les aligner aux attentes nécessaires à la réalisation d'un projet, faire des compromis, et prévoir son évolution personnelle et professionnelle en se fixant des objectifs en lien avec les enjeux de société. 
  14.  Analyser des résultats, discerner l'origine d'impacts environnementaux, critiquer de manière constructive pour obtenir des effets positifs réellement durables sur l'environnement. 

 

Modalités d'évaluation :

Les évaluations de compétences prennent la forme d’examens sur table, de travaux pratiques individuels ou de groupe, de présentations orales, de rapports de projets, de rapports et soutenances de stage. Les stages ou expériences professionnelles obligatoires apportent un approfondissement d’un ou plusieurs blocs de compétence, selon la mission principale du stage et la structure d’accueil. Le mémoire et la soutenance de fin d’études, obligatoires, amènent soit la preuve de validation de plusieurs blocs de compétences, soit un approfondissement de l’un des blocs, en lien avec la mission principale du stage de fin d’études ou de la structure d’apprentissage, problématisé et en lien avec un ou plusieurs enjeux du développement durable.

L’Institut Polytechnique UniLaSalle dispose d’un Service et de ressources dédiés au bien-être des étudiants en général et à l’inclusion des étudiants en situation de handicap en particulier.
L’accompagnement proposé aux étudiants en situation de handicap peut s’inscrire, tant dans le cadre des cours et épreuves d’évaluation, que dans la recherche de stage, d’alternance ou d’emploi, ou encore dans la préparation d’une expatriation.

RNCP36432BC01 - Identifier et évaluer les phénomènes liés à la pollution des milieus et à la dégradation des écosystèmes

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Expérimenter et mettre au point des protocoles de recherche et de mesure de polluants.

Appliquer les outils scientifiques et techniques aux milieux et aux éco-systèmes, en ayant tout à la fois une vision systémique « macro » des enjeux environnementaux du développement durable et une vision précise « micro » des interactions biologiques et chimiques.

Mettre au point et utiliser des méthodologie d’évaluation d’impacts environnementaux.

Réaliser une veille sur les actualités de recherches scientifiques et techniques, les prospections, le contexte national et international.

 

Des examens sur table permettent d’évaluer l’assimilation de connaissances et leur utilisation dans le contexte de cas fréquents de pollution des milieux.

Des travaux pratiques évaluent la capacité à conduire des expériences de dégradation d’écosystèmes et de pollution, à interpréter des résultats, à mettre en pratique les connaissances théoriques d’interactions biologiques et chimiques.

RNCP36432BC02 - Etablir un diagnostic de performances des procédés de dépollution : procédés chimiques, physico-chimiques, microbiologique ou procédés de phyto-rémédiation.

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Caractériser des procédés de dépollution d’effluents ou de milieux (air, eau, sol), en mobilisant les compétences scientifiques de base (chimie, biologie, physique) en lien avec des techniques de spécialité (génie des procédés).

Utiliser des méthodes et outils de test, expérimenter, évaluer les performances des procédés

Réaliser une veille technique et réglementaire, tant au niveau international (union européenne, accords internationaux) que national et local (agences de l’eau, régions, bassins versants)

 

Des examens sur table permettent d’évaluer l’assimilation des principes de procédés de dépollution.

Des travaux pratiques évaluent la capacité à mettre en œuvre les méthodologies de dépollution, à interpréter des résultats, à mettre en pratique les connaissances théoriques d’interactions biologiques et chimiques dans le cadre de procédés de dépollution.

RNCP36432BC03 - Concevoir, dimensionner, et mettre en œuvre des solutions techniques de préservation de l’environnement

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Concevoir, concrétiser, tester, valider, puis déployer des procédés de dépollutions ou d’évitement de pollutions, des moyens d’économie d’énergie de bâtiments ou d’installations industrielles, des installations d’énergies renouvelables, et plus généralement des solutions de préservation de l’environnement dans l’esprit du principe ERC (éviter, réduire, compenser).

Réaliser une veille sur les évolutions techniques et règlementaires, récentes et à venir.

Adapter les solutions aux enjeux du développement durable sur les 3 volets  environnementaux, sociaux, économiques ; aux enjeux propres à l’entreprise concernée ; aux attentes et exigences de société qu’elles soient locales (riverains, règlementation locale) ou de grande ampleur (enjeux sociétaux internationaux).

S’agissant d’installations mises en œuvre puis exploitées généralement par de multiples acteurs, prendre en compte l’aspect santé sécurité au travail et la responsabilité associée, en s’adaptant à la législation du pays de déploiement.

 

 

Des examens sur table permettent d’évaluer l’assimilation des outils et méthodes de conception et de dimensionnement des solutions techniques.

Des travaux pratiques évaluent la capacité à conduire des expériences de déploiement de procédés, de moyens techniques, de solutions d’évitement ; à interpréter des résultats ; à mettre en pratique les connaissances théoriques de conception et dimensionnement.

Le mémoire et la soutenance de fin d’études évaluent la contextualisation (développement durable, enjeux) et les méthodologies de choix de solutions de préservation de l’environnement.

RNCP36432BC04 - Exploiter des unités industrielles dans le domaine du traitement des pollutions ou des déchets.

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Manager des équipes, gérer des budgets et des projets, concernant des stations de traitement d’eaux usées urbaines, des centres de tri et de valorisation de déchets, des installations de dépollution spécialisée, des parcs d’énergie renouvelable (éolien, solaire, biomasse, …).

Collaborer, travailler en équipe, communiquer, entrainer, avoir du leadership, pour atteindre des objectifs communs.

Adopter une posture réflexive sur ses pratiques managériales et humaines, pour avoir un encadrement pérenne dans un esprit de Responsabilité Sociale/Sociétale de l’Entreprise (RSE), et une ouverture internationale permet de piloter des exploitations à l’étranger aussi bien qu’en France.

Se tenir en veille règlementaire et technique, assumer des responsabilités juridiques d’installations généralement classées pour la protection de l’environnement (statut ICPE).

Entreprendre (y compris en intraprenariat), anticiper, innover.

Tenir compte des enjeux, tant « macro » du développement durable que « locaux » des riverains ou élus locaux.

Porter des responsabilités de direction, notamment en matière de sécurité au travail, s’agissant de manager des équipes dans un milieu technique parfois dangereux (chimie, microbiologie, installations de grande ampleur, ...).

Ces compétences sont le plus souvent évaluées par la réalisation de projet concret, de cas d’études proposés par des partenaires. Les évaluations sont réalisées grâce à l’observation des pratiques collaboratives, managériales et gestionnaires des apprenants ; grâce à la production de rapports et de soutenances orales pour évaluer la pertinence des contenus techniques ; et grâce à l’auto-évaluation et l’évaluation par les pairs.

Les stages en exploitation et expériences en entreprises sont l’occasion de produire des rapports et soutenances, coévaluées par des enseignants et par l'entreprise en matière de travail en équipe, de communication, de prise de responsabilités.

Le mémoire et la soutenance de fin d’études évaluent la contextualisation (développement durable, responsabilité sociétale, enjeux) et la manière de gérer les situations variées en matière de gestion et management d’exploitations industrielles.

 

RNCP36432BC05 - Evaluer les impacts environnementaux d’une activité, d’un produit, d’un territoire

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Mettre au point et d’utiliser des méthodologies d’évaluation environnementale variées, parfois connues et éprouvées (analyse de cycle de vie, bilan carbone, …), parfois en cours d’innovation ou d’exploration (écologie industrielle et territoriale, analyse de cycle de vie territorialisée, …) ;

Adapter et appliquer ces méthodologies à un produit, une activité, un site, un territoire.

Prospecter, innover, se tenir en veille, chercher.

Des examens sur table permettent d’évaluer l’assimilation de connaissances méthodologiques sur les impacts environnementaux.

La réalisation de projets concrets, de cas d’études permet des mises en situation et des analyses de cycle de vie de produits.

Les expériences en entreprise ou en collectivité territoriale (stage, période d'apprentissage) permettent d’évaluer la pertinence de l’analyse d’impacts environnementaux d’un site, d’une activité, ou d’un territoire. Les rapports et soutenances orales permettent la coévaluation par des enseignants et par le représentant de l'entreprise (maître de stage ou maître d'apprentissage) des méthodologies d’évaluation d’impacts environnementaux et/ou d’écologie industrielle et territoriale.

Le mémoire et la soutenance de fin d’études évaluent la contextualisation (variété des enjeux) et la synthèse d’un état de l’art scientifique en matière d’analyse de cycle de vie, ou de bilan carbone, ou d’écologie industrielle et territoriale.

 

RNCP36432BC06 - Concevoir, mettre en œuvre et évaluer les démarches de management environnemental des entreprises et collectivités, visant la réduction des impacts environnementaux des activités et des produits ; conduire des projets et des démarches de certifications, notamment les certifications de la famille ISO 14 000

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Conduire, manager, en général de manière transverse, des processus d’amélioration continue Qualité, Hygiène, Sécurité/Santé, Environnement) (QHSE) ou Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), dans tout organisme désireux de réduire ses impacts environnementaux et sociaux.

Manager, collaborer, travailler en équipe, communiquer, entrainer, avoir du leadership, pour atteindre des objectifs communs. Avoir une posture managériale réflexive et exemplaire.

S’adapter aux évolutions règlementaires et aux enjeux sociétaux, les concilier avec les impératifs économiques et les enjeux propres de l’entreprise.

Appliquer des systèmes de management intégré, améliorer la durabilité des démarches, tenir compte des évolutions des systèmes normatifs de management (familles ISO 14000, ISO 26000, ISO 45000, ISO 50000, ISO 9000).

 

Des examens sur table permettent d’évaluer l’assimilation de connaissances théoriques en qualité, hygiène, sécurité santé au travail, et environnement.

La réalisation de projets concrets, de cas d’études avec des jeux de rôles permet des mises en situation et une première approche concrète dans un système de management de type ISO.

Les périodes et stages en entreprise industrielle ou de service permettent d’évaluer la méthodologie de mise en place ou du maintien d’une certification normative ISO. Les rapports et soutenances orales permettent la coévaluation par des enseignants et par le représentant de l'entreprise (maitre de stage ou maître d'apprentissage) de la façon de travailler en collaborant, en équipe, de manière transverse avec du leadership.

Le mémoire et la soutenance de fin d’études évaluent la contextualisation (enjeux règlementaires, sociétaux, et économiques) et l’apport d’un système de management de type ISO à l’entreprise.

RNCP36432BC07 - Conduire des projets de développement appliqués à l’évolution des techniques et l’innovation ou à l’entreprenariat

Liste de compétences Modalités d'évaluation

Entreprendre pour développer, pour déployer, pour innover, localement ou internationalement.

Manager, collaborer, travailler en équipe, communiquer, entrainer, avoir du leadership, pour atteindre des objectifs communs. Avoir une posture managériale réflexive et exemplaire.

Etre capable de mettre en relation des acteurs aux intérêts très divers, en situation locale ou internationale. Les faire converger vers un ou plusieurs objectifs du développement durable (ODD).

Maitriser un large champ de sciences et techniques. Réaliser une veille scientifique, prospecter.

La réalisation de projets concrets, de cas d’études avec des jeux de rôles permet une première approche de la complexité d’un projet entrepreneurial ou d’une mise en place de projet d’ampleur.

Les stages ou expériences en entreprise permettent d’évaluer la méthodologie de mise en place d’un projet. Les rapports et soutenances orales permettent la coévaluation par des enseignants et par le représentant de l'entreprise (maitre de stage ou maitre d'apprentissage) de la façon de travailler en collaborant, en équipe, de manière transverse avec du leadership.

Le mémoire et la soutenance de fin d’études évaluent la contextualisation (variété des acteurs et des intérêts) et l’apport du projet aux objectifs de développement durable.

Description des modalités d'acquisition de la certification par capitalisation des blocs de compétences et/ou par correspondance :

La certification s’obtient :

  • En validant l’ensemble des blocs de compétences. Ils sont tous obligatoires.

Et

  • En démontrant l’exercice d’activités professionnelles en lien avec ces blocs (stages, apprentissage, ou expériences professionnelles). Ces activités professionnelles peuvent n’être exercées en correspondance d’un ou plusieurs blocs, elles ne concernent pas nécessairement l’ensemble des blocs.

Et

  • En produisant un mémoire de fin d’études ou un mémoire de synthèse, et une soutenance. Ce mémoire et cette soutenance ne correspondent pas nécessairement à tous les blocs de compétences, mais doivent approfondir au moins l’un des blocs.

La certification atteste d'une expérience d'immersion dans le milieu de l'entreprise, d'une expérience à l'international et de l'acquisition du niveau CECRL B2 en langue anglaise.

Secteurs d’activités :

Les grands domaines d’application visés sont :

  • La prévention et le traitement des pollutions de l’eau, de l’air, des sols,
  • La gestion des déchets,
  • La production industrielle,
  • Le génie civil, le bâtiment,
  • L’énergétique.

Les titulaires de la certification s’intègrent dans tout type de structure, et en particulier au sein des :

  • Bureaux d’études, sociétés de conseil et vérification déployant une activité en lien avec la protection de l’environnement : respect de la réglementation, conduite de projets environnementaux, …
  • Entreprises éco-industrielles : les entreprises spécialistes des services à l’environnement notamment dans les secteurs du traitement de l’eau ou de la gestion des déchets
  • Entreprises industrielles de tout secteur d’activité engagées dans des démarches de management environnemental
  • Organismes publics ou associatifs, chargés de mettre en œuvre la politique environnementale ou de diffuser les bonnes pratiques environnementales
  • Collectivités territoriales dans les services techniques ou administratifs dédiées à la gestion de l’environnement

 

Type d'emplois accessibles :

L’entrée dans la vie professionnelle s’opère sur des postes d’ingénieur d’études ou de chargé de mission en lien avec les problématiques environnementales, puis évolue vers des responsabilités différentes selon les secteurs d’activité.

  • En bureaux d’études, les responsabilités évoluent vers des postes de chargés de clientèles ou de responsable d’équipes
  • En entreprise éco industrielle, les fonctions assurées peuvent être celles de responsables sur des fonctions techniques, des postes d’ingénieur d’affaire, des postes de responsables de sites ou responsables d’exploitation
  • En entreprise industrielle les fonctions sont celles de responsable environnement, responsable développement durable, ou de responsable hygiène qualité sécurité environnement
  • En collectivité territoriale les fonctions sont celles de responsables de services techniques en lien avec la gestion environnementale.

 

Code(s) ROME :

  • H1502 - Management et ingénierie qualité industrielle
  • H1401 - Management et ingénierie gestion industrielle et logistique
  • H1302 - Management et ingénierie Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriels
  • H1501 - Direction de laboratoire d''analyse industrielle
  • H1206 - Management et ingénierie études, recherche et développement industriel

Références juridiques des règlementations d’activité :

RAS

Le cas échant, prérequis à l’entrée en formation :

Hors VAE, pour entrer en formation, un candidat doit être titulaire d’au moins 60 ECTS acquis via une formation scientifique de type : 

  • BTS (Hygiène Propreté Environnement, Chimiste, Métiers de l’Eau, bioanalyses et contrôles, biochimie…), 

  • DUT (Hygiène Sécurité Environnement, Génie biologique, Mesures physiques, Chimie…), 

  • L2/3 : biologie, chimie, physique, sciences de la matière, qualité-sécurité, 

  • CPGE scientifiques et cycles préparatoires d’Ecole d’ingénieur. 

L'ouverture à d'autres formations peut être envisagée au cas par cas. 

Le cas échant, prérequis à la validation de la certification :

Pré-requis disctincts pour les blocs de compétences :

Non

Validité des composantes acquises :

Validité des composantes acquises
Voie d’accès à la certification Oui Non Composition des jurys
Après un parcours de formation sous statut d’élève ou d’étudiant X

Le jury de délivrance de la certification est composé par :

  • le Directeur Général et/ou le Directeur de l’Enseignement (présidant le Jury)
  • le Directeur de formation (enseignant)
  • le Directeur Aux Études,
  • le Responsable de Mission éducative et Vie Étudiante,
  • le Directeur de la formation par Apprentissage,
  • les Responsables pédagogiques (enseignants),
  • un coordinateur des Langues (enseignant),
  • un représentant de la mission handicap.

A la discrétion du président de Jury, des invités pourront être conviés au Jury de Diplôme : Enseignants, Responsable de la Formation continue…

 

En contrat d’apprentissage X

Le jury de délivrance de la certification est composé par :

  • le Directeur Général et/ou le Directeur de l’Enseignement (présidant le Jury)
  • le Directeur de formation (enseignant)
  • le Directeur Aux Études,
  • le Responsable de Mission éducative et Vie Étudiante,
  • le Directeur de la formation par Apprentissage,
  • les Responsables pédagogiques (enseignants),
  • un coordinateur des Langues (enseignant),
  • un représentant de la mission handicap.

 

Après un parcours de formation continue X -
En contrat de professionnalisation X

Le jury de délivrance de la certification est composé par :

  • le Directeur Général et/ou le Directeur de l’Enseignement (présidant le Jury)
  • le Directeur Aux Études,
  • le Responsable de Mission éducative et Vie Étudiante,
  • le Directeur de la formation par Apprentissage,
  • les Responsables pédagogiques (enseignants),
  • un coordinateur des Langues (enseignant),
  • un représentant de la mission handicap.

 

Par candidature individuelle X -
Par expérience X

Le jury de délivrance de la certification est composé par :

  • le Directeur Général et/ou le Directeur de l’Enseignement (présidant le Jury)
  • le Directeur de formation (enseignant)
  • le Directeur Aux Études,
  • le Responsable de Mission éducative et Vie Étudiante,
  • le Directeur de la formation par Apprentissage,
  • les Responsables pédagogiques (enseignants),
  • un coordinateur des Langues (enseignant),
  • un représentant de la mission handicap.
Validité des composantes acquises
Oui Non
Inscrite au cadre de la Nouvelle Calédonie X
Inscrite au cadre de la Polynésie française X

Statistiques :

Statistiques
Année d'obtention de la certification Nombre de certifiés Nombre de certifiés à la suite d’un parcours vae Taux d'insertion global à 6 mois (en %) Taux d'insertion dans le métier visé à 6 mois (en %) Taux d'insertion dans le métier visé à 2 ans (en %)
2020 34 0 71 65 -
2019 47 0 64 61 93
2018 61 2 65 61 83

Lien internet vers le descriptif de la certification :

https://www.unilasalle.fr/formations/ingenieur-en-genie-de-l-environnement

Le certificateur n'habilite aucun organisme préparant à la certification

Certification(s) antérieure(s) :

Certification(s) antérieure(s)
Code de la fiche Intitulé de la certification remplacée
RNCP9519 Titre ingénieur - Ingénieur diplômé de l’Ecole des Métiers de l’Environnement

Référentiel d'activité, de compétences et d'évaluation :